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Evil is a point of view. Ϟ william&audrey

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MessageSujet: Evil is a point of view. Ϟ william&audrey Evil is a point of view.  Ϟ william&audrey Icon_minitimeMer 6 Mai - 10:23



Evil is a point of view.
ft. william anders and audrey of hastings-anders

La nuit était tombée depuis un peu plus de trois heures maintenant. Il était temps pour Audrey de se mettre en marche. Elle ferma derrière la porte à clé derrière elle et se glissa tel une ombre dans la nuit. Le noir enveloppa la diablesse. Elle n’avait pas fait deux pas dehors que ses sens étaient déjà tous en alerte. Elle était en chasse. Mais cette fois, c’était différent. Elle ne traquait pas une bonne âme perdue dans la nuit afin de se nourrir d’elle. Elle chassait un semblable. William n’avait pu survivre que de cette façon, en étant lui aussi devenu immortel. Et si cette conclusion était la bonne, Audrey n’osait imaginer la vie de délice qui s’étalait devant elle. Un frisson parcourut délicieusement son échine, elle passa sa langue sur ses crocs et enfonça un peu plus le capuchon de sa cape sur sa tête. Elle se faufila ensuite dans les rues sombres comme elle l’avait déjà fait du temps où elle était humaine pour retrouver des nuits d’ivresses, de luxure et de folie. Et c’était exactement ce qu’elle allait faire ce soir. Après avoir retrouvé William. C’était cette nuit, elle n’en doutait plus. Son amant était plus proche d’elle qu’il ne l’avait été depuis cent trente huit ans. Et pourtant, le souvenir de son corps chaud contre le sien était plus intact qu’il ne l’avait jamais été. Le moindre soupir, le moindre râle, la moindre caresse étaient marquées au fer blanc dans son esprit. Jamais elle n’oublierait cette nuit d’amour parfaite.  Et c’était pour cela qu’elle devait impérativement retrouvé William. Sinon, tout ça serait perdu à jamais, elle serait seule pour l’éternité. Et une princesse ne peut-être seule.

Elle avait fait un travail de maître ce soir là. Pour être inviter à cette folle fête alors que personne ne la connaissait, elle avait dû user de ses charmes comme elle savait si bien le faire. Après un flirt qui avait laissé pantois l’hôte de la soirée, elle s’était vue donné une invitation. Et elle savait que William serait là ce soir. Elle n’aurait jamais fait tant d’effort autrement. Il était là, tout prêt, elle arrivait presque à sentir l’odeur de son parfum mélangé à la sueur qui faisait ressortir les muscles fins mais puissant de son torse, de ses bras et de son dos. Elle planta ses ongles dans sa paume, pour faire sortir tout ça de sa tête. Cette dernière devait rester froide et elle devait garder toute ses capacités intactes pour être prête. Elle se retrouva devant un petit manoir de style victorien. Rien d’impressionnant, elle avait vécu dans un manoir dans le même genre, quoi que beaucoup plus gros. Elle se présenta devant une porte un peu éloigné du chemin et donna son invitation. On la laissa passer, non sans au préalable prendre son manteau. Après ça, il fut plus qu’aisé de comprendre que le diable en personne habitait la demoiselle. Elle portait une robe noire. Encre. Corbeau. Ebène. Luisante. Les lumières tamisées de la bâtisse se reflétaient sur ses courbes. Sa robe tombait comme une cascade sur ses jambes fines, mais elle était fendue à gauche jusque mi-cuisse, dévoilant une jambe albâtre dénué de tout défaut. Elle était parfaite. Son dos était nu de la base de son cou jusqu’aux bas de ses reins. Elle était éblouissante. La ligne parfaite de sa colonne vertébrale attirait le regard jusqu’à son point culminant de beauté. Les courbes parfaites de ses hanches étaient étroitement serré dans la soie de la robe, lui donnant l’air plus mince que jamais. En opposition à cette robe noire au décolleté dévoilant à peine les deux collines que formaient ses seins, sa peau était laiteuse. Mais c’était sa bouche qui attirait inexorablement le regard. Charnue et sensuelle, elle était teinte d’une rouge criard et sauvage en parfaite harmonie avec les escarpins à bride vertigineux qu’elle portait aux pieds. Elle n’était pas juste belle. Elle était sexy sans être vulgaire. Elle brillait, elle était lumineuse et pourtant sa démarche féline alors qu’elle évoluait parmi les convives, lui donnait un côté animal qui la rendait subtilement provocante. Elle glissa son masque rouge sur ses yeux et l’accrocha dans ses boucles brunes.

Elle accepta une coupe de champagne, le goût n’étant plus aussi appréciable depuis longtemps. Elle marchait lentement, fendant la foule sans qu’on ose l’accoster. Elle huma l’air, cherchant cette odeur caractéristique du semblable. Mais l’air était plein de sang, de gorge palpitante et de cœur au soubresaut incessant. Pourtant, elle le vit enfin. Il avait un masque lui aussi, mais elle aurait reconnu le carré de sa mâchoire entre mille. Elle traversa la foule à pas vif, il était là. Enfin, si près d’elle. Elle le contourna pour être dans son dos. Elle inspira, se délectant de son odeur. Et puis, elle chuchota de sa voix suave et mielleuse qu’il connaissait par cœur.

« William Anders… Vous êtes un homme difficile à trouver. »
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MessageSujet: Re: Evil is a point of view. Ϟ william&audrey Evil is a point of view.  Ϟ william&audrey Icon_minitimeMer 6 Mai - 20:49


Audrey of Hastings-Anders  & William Anders

Evil is a point of view




Une fois de plus, la nuit avait étendue son lourd manteau sur Budapest et William n'avait pas attendu longtemps pour sortir. Il tournait dans sa main le petit carton d'invitation, hésitant encore à se rendre dans cette soirée qui rappelait à lui trop de souvenir. Il n'avait plus porté de masque depuis si longtemps. Il était encore humain quand il se cachait pour faire grandir l'envie et la luxure en lui. Et autrefois, encore plus loin, celle qui reposait surement dans une tombe de marbre blanc avait été à ses côtés.

Tout en enfilant son costard sur mesure, le vampire sirotait un verre de sang, sachant qu'il n'aurait pas l'occasion de satisfaire son appétit cette nuit. Regardant le piano qui l'appelait toujours après toutes ses années, il laissa son doigt glisser sur l'une des touches avant de soupirer légèrement et de fermer sur les touches leur protection. Il posa son verre à côté de l'instrument, enfila sa veste et ajusta sa cravate. puis il prit la direction du petit manoir où sa grâce naturelle de bourgeois anglais était attendu. Où ses beaux yeux séduiraient encore milles demoiselles à la cuisse légère. Ses nuits se ressemblaient presque toutes et pourtant il n'y voyait encore de fin. L'éternité ne lui était pas longue bien au contraire. Il voyait sa vie comme ça pour les millénaires à venir. S'il en oubliait l'épée de Damoclès qui criait au dessus de sa tête. Les Serban... Mais l'humeur était à la fête, non aux peurs.

Il avait toujours ce masque qu'il revêtait du temps de sa mortalité, ourlé de perle d'onyx pur, faisant sembler ses prunelles de feu et de glace assemblées. Il embrassa la main de son hôte, galant homme et récupéra une coupe de champagne sans goût qu'il se mit à siroter. Tout n'était que cendre dans son palet. Tout sauf le sang qu'il voyait rouler sous les peaux si fines, abreuvant les cœurs assoiffés. Le vampire inspira légèrement et un doux parfum vient chatouiller ses narines. Un parfum dont le souvenir était toujours ancré dans sa mémoire mais auquel il ne prêtait pas attention. Le masque sentait toujours l'odeur d'Audrey. Comme un fantôme qui ne le quitterait jamais.

William, après avoir discuté pendant des longues minutes avec divers protagonistes, se retrouva dans son coin, une coupe à la main, observant les courbes langoureuses d'une blonde dont les boucles retombaient avec élégance dans sa chute de rein propre aux pécheresses. Son verre à la main, l'anglais le sirotait par intermittence, sans prêter attention au goût. Une voix le fit se retourner, surprit d'avoir été surprit. La surprise était de taille. Une splendide créature lui faisait face, une créature qu'il connaissait.

Audrey. laissa-t-il échapper, ses prunelles s'écarquillant de stupeur. Ce sourire, il l'aurait reconnu entre mille. Mais Audrey était morte voilà de cela des années. Elle... Impossible. Mais cette verve et cette voix. Excusez moi mademoiselle, j'ai du vous confondre avec quelqu'un d'autre. Un souvenir du passé. Vous êtes puisque vous semblez me connaitre et m'avoir cherché ?

Le vampire inspira et l'odeur ne trompait pas. La créature de rêve devant lui, qui faisait exploser les battements inexistants de son cœur était de sa race. Et elle était obligatoirement de son sang. Une nièce éloignée. Mais ce ne pouvait être vrai. Ce ne pouvait être Audrey dans cet habit de lumière et dans cette robe qui rendait ses courbes terriblement tentatrices.
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MessageSujet: Re: Evil is a point of view. Ϟ william&audrey Evil is a point of view.  Ϟ william&audrey Icon_minitimeJeu 7 Mai - 11:39



Evil is a point of view.
ft. william anders and audrey of hastings-anders

Elle ne reconnaissait pas le sentiment en train de comprimer sa poitrine. Son cœur ne battait plus depuis si longtemps qu’elle en avait oublié la sensation résolument terrifiante de l’appréhension. Celle qui vous serre si fort le cœur et l’estomac que vous êtes à deux doigts de tomber dans les pommes tellement vous avez peur. Audrey n’avait jamais envisagé la possibilité que William n’ait pas envie de la voir. Qu’il puisse être passé à autre chose depuis longtemps alors qu’elle n’avait pensé qu’à lui pendant toutes ses années. Elle n’avait pas envisagé cette possibilité mais elle était néanmoins plausible. Elle préféra l’ignorer. William était son âme sœur. Dans une autre vie, elle était certaine qu’ils avaient été très heureux et qu’on avait voulu les punir en faisant d’eux des frères et sœurs dans cette vie là. Mais ils s’étaient retrouvés, bafouant la morale et l’éthique. Et après l’avoir fait une fois, Audrey brûlait de recommencer encore. Un rire roula le long de sa gorge, explosant en un petit carillon en passant sa bouche. Il avait tout de suite su que c’était elle. Et elle comprenait sa stupeur. Elle avait eut la même réaction lorsqu’elle avait entendu son nom. L’espoir était pourtant né dans le creux de sa poitrine vide depuis si longtemps. Audrey était devenue vampire mais... son cœur n’avait jamais été autrement que de glace. Et le seul sentiment d’amour qu’elle avait connu, le seul sentiment réel, c’était William qui le lui avait fait ressentir. Depuis, elle n’en avait jamais aimé un autre. Le temps d’une nuit peut-être. Mais l’amour de la chair n’est rien contre l’amour du cœur.

« Dansez- avec moi. »

Elle ne lui laissa pas le temps de répondre. Leur force décuplée respective lui permit d’avoir tout de même une certaine facilité à l’attirer contre elle. Elle évita de toucher sa peau, pas certaine de pouvoir résister longtemps à l’appelle de la chair de cet être parfait. Elle posa délicatement sa main sur son épaule et tendis l’autre en l’air, d’un air de défis. Et enfin, leurs doigts se scellèrent et il posa sa main dans son dos nu. Elle sentit presque la pointe de ses seins durcirent contre le torse de son amant à ce simple contact. Elle retrouvait enfin sa moitié. Ils évoluaient avec perfection sur la piste. Pour peu, les gens s’étaient presque arrêter de danser pour les regarder tant ils étaient surpris de voir tant de grâce dans une valse. Il fallait dire, qu’ils avaient dû en danser des valses à une époque. Pour leur mère, pour la cour, pour être bien vu. Ils avaient dansé, tourné, à s’en rendre malade et à en avoir le tournis, ils avaient évoluent avec autant de perfection qu’à ce moment. Elle approcha son visage du sien, inspirant l’odeur caractéristique du mâle vampire. Elle lécha ses crocs, résistant à l’envie de le mordre, juste pour plaisanter. Mais elle aurait crée une émeute, et ce n’était pas le moment. Elle voulait sortir d’ici entière, avec William à son bras et passer toute la journée dans l’ombre d’une chambre à retrouver son amant de mille et une façon.

« Mon nom est Audrey of Hastings-Anders… Mais, princesse, c’est bien aussi. »

Audrey espéra que le petit souvenir du surnom qu’elle avait portait toute son enfance suffirait pour que William se rende compte qu’il s’agissait bien d’elle et pas d’une possible personne lui ressemblant simplement. C’était elle, elle était là dans ses bras. Enfin. Après toutes ses années ils étaient enfin réunis. Il ne pouvait pas, pas la reconnaître ou ne pas accepter qu’il puisse réellement s’agir d’elle. Elle approcha sa bouche de son cou où elle déposa un tendre baiser sous son oreille, comme elle avait fait la première fois et unique fois où leur amour avait été consommé. Elle ne partirait pas sans lui. Plus jamais.
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MessageSujet: Re: Evil is a point of view. Ϟ william&audrey Evil is a point of view.  Ϟ william&audrey Icon_minitimeMar 12 Mai - 14:10


Audrey of Hastings-Anders  & William Anders

Evil is a point of view



Musique


Le vampire avala sa salive alors que la déesse s'approchait de lui, qu'il se perdait à moitié dans les prunelles de feu et de glace de la demoiselle. Il ne parvenait à la lâcher des yeux, il n'y arrivait tout simplement pas, quand bien même il l'aurait voulu. Audrey. C'était impossible. Elle ne pouvait être là, avec son magnifique sourire, ses courbes enchanteresses et cette odeur de vampire qu'il sentait sur cette peau qu'il rêvait d'embrasser. William tentait de reprendre ses esprits mais à chaque bouffée d'air qu'il inspirait, il se sentait encore plus détruit par cette odeur qui s'infiltrait jusqu'à la moindre de ses cellules. Il n'arrivait à croire cette vision de paradis que lui offrait ses yeux. Si c'était la fin, il l'accueillait avec joie. Retrouver Audrey. Pour toujours et à jamais se perdre dans les draps blancs d'un linceul. Mais elle ne semblait être la mort alors qu'elle prenait à nouveau vie et qu'il calmait son souffle trop rapide.

Il n'eut le temps d'ajouter la moindre parole qu'elle s'était déjà rapprochée de lui, ordonnant comme toujours. Elle n'était pas nommée princesse que pour sa beauté mais bien parce que ses caprices d'enfant étaient dignes de ceux d'une reine. Audrey ne demandait pas, elle exigeait. Et William était son premier chevalier, prêt à encourir les foudres de Dieu pour une seconde de plus en sa présence, à subir la fin de ce monde pour la caresse de ses lèvres. Il inspira une nouvelle fois, attirant à lui ses particules chargées de cette odeur qu'il avait tant aimé, mêlée à celle de cette race dont il faisait partie. Et Audrey semblait les avoir rejoint à son tour.

Les gestes revirent d'eux-mêmes, la main qu'il prit lui sembla si douce alors que ses pas commençaient cette danse qu'il avait tant effectuée quand il était un humain. Combien de fois avait-il dansé avec Audrey, leurs deux regards s'offrant milles promesses aphones. Ses prunelles se dilatèrent presque face au désir qu'elle faisait naitre de sa simple présence et il inspira une nouvelle fois son odeur, son souffle s'approchant trop près de la peau de la vampire, air brulant contre l'immortelle. L’éternité ne leur suffirait pas.

Audrey... Je t'ai cru morte. William stoppa la danse, la prenant par la main, lui ordonnant d'un regard presque brusque de le suivre. Sa poigne contre la main douce était de fer Je t'ai cru morte. La voix du brun était presque emplie de désespoir alors qu'il prenait son visage en coupe entre ses mains, se plongeant dans les yeux de la belle pendant que ses propres prunelles s'emplissaient de rouge, des larmes de joie qui n'avaient jamais coulées sur ses joues. Tu es en vie. Tu es là. Il toucha sa peau, la joie illuminant son visage. Ô Audrey... Ses lèvres se rapprochèrent de celle de la brune et il l'embrassa avec une tendresse sans nom. Elle était là, devant lui. En vie.

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