The world is mine and if isn't, I should take it from my fangs | William Anders

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FROM @Tumblr / CELEBRITE @Ian Somerhalder

ANDERS, William
Le mal, c'est quelque chose de toujours possible. Et le bien, c'est quelque chose d'éternellement difficile | Anne Rice

nom ; Anders ~ prénom ; William ~ âge ; Il aurait arrêté de compté si on ne venait lui souffler la date chaque année. En apparence, il semble encore bien jeune mais il est véritablement né en 1853 ~ origines ; Anglaise ~ race ; Vampire ~ clan ; Farkas, mais voilà bien longtemps qu'il les a quitté ~ pouvoirs ; On dit qu'on peut se perdre dans des yeux aussi bleu que l'immensité du ciel. William ne les perds pas, mais il s'offre d'un regard de paralyser les sens et de les laisser à ses pieds pour mieux se les offrir ~ métier ; Aucun ~ orientation sexuelle ; Hétérosexuel parce que les femmes et leurs courbes tendres le fascine. parce qu'il les aime. Mais il a déjà gouté aux hommes et ses reins enflammés ne peuvent mentir ~ statut matrimonial ; Milles et unes maitresses ~ caractère ; Manipulateur, égoïste, imbu de sa personne, froid, instable, mystérieux, calculateur, galant, ferme, charismatique, observateur. On dit que William a toujours un plan A, un plan B, et autant d'autre qu'il y a de lettre dans l'alphabet ~

William est manipulateur et ce depuis toujours~ Il veut porter le nom de sa famille aux sommets, malgré les années qui ont passées ~ Il a gardé de son passé un tendance à être toujours rasé de près~ Il collectionne les femmes sans vraiment s'attacher~ Irina est la seule qui parvient à la garder un tant soit peu stable ~ Il est toujours hanté par les souvenirs de sa créatrice ~ Il est fasciné par la magie et rêve de la comprendre ~ Il peut passer des heures enfermé dans sa bibliothèque à lire ~ Il joue très bien du piano ~ Il a gardé de son passé d'aristocrate anglais une galanterie et un savoir vivre d'exception ~ Il boit toujours un café fort avant de partir le soir, même si cela n'a aucun goût pour lui. ~ Avec le temps il a développé des habitudes étranges ~ Il possède encore son accent anglais, qui devient fort lorsqu'il est en situation de stress

ton pseudo : Lylou ~ âge : 19 ans (le 24 Avril Smile

)~ pays : France ~ fréquence de connexion : 7/7 ~ comment t'es arrivé ici? : Y a un gentil monsieur (ou madame) qui est venue nous chercher sur pRD avec Zuzette ~ un commentaire? : J'ai pas de p mes amis, j'ai du malllll Sad

pis vive 30STM parce que ECHELON pOWA rabbit

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story of my life
Cherchez au fond de mon âme, vous tomberez plus bas que vous ne l’êtes déjà.

Anders. Le nom devait être porté avec fierté, avec honneur et puissance. Si les Anders n'étaient pas des nobles, ils en avaient toutes les ambitions. Dans leurs sangs, dans leurs veines et dans leurs cœurs bruissait cette même soif de pouvoir, cette même envie de devenir plus puissant, d'assoir enfin l'un de leur sur le trône si grand et inconfortable d'Angleterre. Agissant dans l'ombre, ils agrandissaient d'heures en heures, de jours en jours et d'années en années leur puissance. Un jour, ils toucheraient les sommets. De ça, ils en étaient certain. Rien ne pourrait les détourner de leur buts plus sombres les uns que les autres. Depuis bien des années, ils étaient là, dans les rues de Londres, à profiter de la plus petite opportunité pour être au bon endroit au bon moment. Les scandales étaient étouffés avant même qu'ils parviennent aux oreilles extérieurs. Grands noms du monde, ils se mêlaient aux soirées mondaines sans difficultés aucunes.

Elizabeth, malgré son statut de femme, était celle qui prenait le plus à cœur le rôle de leur famille. portant le nom d'Anders depuis sa naissance, elle avait épousé son cousin très tôt. Lui était un homme travailleur, qui offrait à son rang le luxe de la bourgeoisie anglaise. Elizabeth se comportait comme une Lady en toute circonstance, avec la grandeur, l'éducation et les parures. Mais elle ne l'était pas. Aucun particule ne venait orner leur nom de famille. Ils étaient riches mais ils n'étaient finalement rien. Si la brune se pavanait, elle ne pouvait oublier que les portes de Buckingham lui étaient fermées.

Alors la brune porta ses espoirs sur ses enfants. Quatre, trois fils et une fille. Ils étaient tous promis à un grand destin, car ils étaient les enfants Anders. De leurs noms, ils feraient une légende. Elle le jura, le fit jurer à chacun d'eux avant de les laisser à leurs nourrices. Ambitieuse, comme tous ceux de son sang, elle ne garda à ses côtés que sa fille. Car cette dernière, avec ses yeux immensément bleus et son visage de poupée serait celle qui promettait à leur sang le plus grand destin.

Au milieu de ses quatre enfants, derrière son frère et sa soeur, devant son dernier frère, il y avait William. Un place pas réellement enviée mais finalement, on le laissait dans son coin. Comme tous les membres de sa famille, le garçon nourrissait des vœux de grandeur, nourrissait l'envie sourde qui criait dans leurs cœurs à tous. Le petit garçon aux prunelles de givre apprit avec délectation ce qui allait petit à petit faire de lui un homme. D'un sourire charmeur inné à des manières de gentilhomme, il comprit vite, en compagnie de sa grande sœur, que le charme serait l'un de plus puissant moyen pour remplir de fierté son cœur. Élevée par leur manipulatrice de mère, Audrey savait à la perfection ce qu'ils se devaient tous de faire. Elle choisit de tout ses frères William car il était le plus prometteur dans les jeux auxquels elle s'essayait. Lui aimait sa soeur comme la prunelle de ses yeux, la protégeant des soit disant gentleman de l'aristocratie anglaise. Car la brune jouait avec le feu à longueur de journée. Alors même qu'elle n'était encore qu'une enfant, William couvrait déjà ses escapades à cheval quand il n'essayait pas de la suivre dans les immenses forêts de cette propriété que possédait leurs parents.

Mais les deux enfants grandissaient, s'aimant avec parfois un peu trop de passion. Ce fut elle qui lui présenta une de ses plus proches amies, sous les ordres de leur mère. Coralis était une belle blonde d'une quinzaine d'année, totalement sous le charme du jeune homme de trois ans son cadet. Il ne fallut pas longtemps au brun pour la faire glisser entre ses bras et de fil en aiguille, dans son lit. Il apprit à aimer ça et il comprit alors où disparaissait sa soeur dans les nuits sombres de Londres. Il se mit à l'accompagner, tous deux ne quittant jamais leurs masques. C'est dans les paillettes et la décadence de l'argent, dans l'alcool et les drogues, que les deux jeunes adultes se voyaient maitre du monde et qu'ils s'offraient aux bras d'amant plus dangereux au fur et à mesure qu'ils avançaient.

Les deux bruns étaient des invités de marques, laissant leurs yeux si semblables capter et emprisonner tous les regards. On les pensait jumeaux quand on les voyait et dans le dos de leurs parents, ils se souriaient lorsqu'ils retrouvaient des amants d'une nuit dans les réceptions autrement plus ennuyeuses de leurs familles. Mais, alors qu'ils oubliaient petit à petit la grandeur et l'envie de leur famille dans les fêtes où ils se tournaient la tête à ne plus se souvenir de leurs prénoms, leurs parents gardaient bien ancrés l'avancé de leur pas. Rien n'était laissé au hasard et si les deux jeunes adultes se tournaient la tête, la nouvelle ne manqua pas de les faire retomber de leurs nuages emplis de fastes et de démesures.

Audrey avait été fiancée. Il était noble, mais il était vieux, laid et terriblement croyant. Elle passa des heures à pleurer dans les bras de son frère, pleurer de devoir lui dire adieu et mettre fin à ce qui était la vie, la seule et l'unique. Ses lèvres virent à rencontrer celles du brun en une promesse terrible qu'ils se firent alors que la passion et les désirs venaient se mêler dans leurs coeurs, qu'ils en oubliaient le lien qui les tenaient attachés l'un à l'autre comme deux amants maudit qui laissaient enfin leurs attaches se romprent. Audrey partie, loin de son frère, loin de la vie qui les avait maintenue loin du monde dans lequel William se retrouvait à nouveau plongé. Avec plus de fureur que jamais, alors que brillait à sa poitrine une rose blanche et que vêtu du splendide costume noir, il regardait sa sœur dans sa robe se diriger vers son destin, il se jura de fermer son coeur au monde et de devenir aussi froid que l'étaient les Anders. Jamais plus il ne s'offrirait les fastes du monde. Il gravirait les marches du pouvoir. Pour toujours et à jamais.

Mais malgré l'amour qu'il portait à sa soeur, William détruisait avec un peu plus d'application chaque jour les promesses qu'ils s'étaient faites. Il tombait dans les bras du néant, bien que son image ne s'effile pas. Aux yeux de la bourgeoisie, il était le frère d'une jeune noble, le fils de Anders et un charmant jeune homme auquel les femmes auraient fait mille promesses, se perdant dans ses si beaux yeux d'azurs. Lui agissait toujours comme un gentleman mais ses frères voyaient bien que depuis le départ d'Audrey, quelque chose avait changé. Il n'était plus que l'ombre de lui-même et sa famille commença à remarquer ses disparitions qu'il avait toujours réussit à garder secrètes tant qu'il était avec sa soeur. William avait l'impression qu'on lui avait arraché une partie de lui-même, qu'on l'avait broyé pour mieux le recracher. La vie n'avait plus autant de saveur, les femmes plus autant de passion. Sans Audrey, le monde ne tournait plus rond. Et lui tournait dingue.

Sa vie bascula du tout au tout dans une de ses soirées masquées où il aimait se perdre avec des femmes attachées à lui, en tenue légère et aux sourires aguicheurs. Elle sortait du lot. Elle vient à lui comme attirée par quelques puissances occultes qu'il n'aurait pu comprendre à l'époque et elle le mena jusqu'à chez elle, jusqu'à ce lieu qui verrait ses derniers instants. La nuit avait entouré le monde d'une chape de brouillard et elle mordit dans sa chaire avec passion. Mais cette fois c'était différent, elle s'abreuvait à cette fontaine qu'était la gorge du brun. C'était une chasseuse, une femme aussi cruelle qu'elle était belle et pourtant, sans raison, elle l'épargna. Elle lui offrit son sang, l'invitant de son accent chantant à boire à cette source d'éternelle jeunesse. William, qui brulait cette dernière avec application, ne se fit pas prier pour venir caresser le pouvoir. Il ne pouvait imaginer qu'à l'heure exacte où il agissait, il tirait un trait sur son passé, il mourrait comme il mourrait de l'esprit des mortels qu'il laisserait derrière lui.

Lidia était une vampire qui vivait seule, chassant en solitaire. Elle avait séduit des milliards d'humains à travers les époques, transformée voilà de cela de siècle. L'Italie romaine l'avait vu naitre et grandir, puis être changée par un des pères de son peuple. Elle avait choisi William voilà bien longtemps, alors qu'il était encore un amant sauvage et un humain bien plus que prometteur. Elle ralluma la flamme qui s'était tant réduite dans son coeur, ralluma la fureur des Anders sans trop de maux. Entre eux se tisa un lien plus fort encore que celui du jeune vampire et de sa soeur. Elle remplaça avec application les souvenirs de sa famille par des promesses remplies de miel et de poison. La brune le manipulait à la perfection et pourtant elle l'aimait comme son égal. Elle se voyait déjà pour les millénaires à venir avec lui, le présenta à sa famille, lui offrit de devenir un dieu.

Et dans son amour fou, William accepta.

Il aurait pu continuer des années de la sorte. Eux deux, puis une soeur qu'elle créa à sa progéniture. L'erreur qu'elle n'aurait jamais du connaitre. Car si Lidia aimait son fils, elle en devient terriblement jalouse quand il commença à son tour à aimer. Quand le coeur du brun s'ouvrit à une autre qu'à sa créatrice. Elle aurait pu tuer pour lui, tuer encore et encore, tuer sa propre fille afin de l'avoir pour elle seule. William l'aimait, mais il aimait aussi sa soeur et il aimait aussi toutes ses femmes qui venaient réchauffer sa couche au fil des années, toutes différentes et au cou desquelles il s'abreuvait avec une facilité déconcertante. S'il était bien comme son clan, il n'en demeurait pas moins mystérieux. Elle-même ne savait ce qu'il cachait et il ne parlait que pour envoyer des piques qui la laissaient incapable de lui répondre.

Ce n'est quand 1944, alors que les guerres offraient un gibier abondant, non pas sur les cadavres des soldats mais sur leurs femmes dont personne ne remarquerait la disparition que William et sa soeur mirent fin aux jours de leur créatrice. Lidia était devenue trop gênante. Mais William en profita pour disparaitre totalement, sans sa soeur, sans sa famille, sans rien d'autre que quelques vêtements, beaucoup d'argent et son nom. Il pleura pendant de longues heures sur le corps de celle qu'il avait désespérément aimé, regrettant son geste à l'instant même où il avait porté le coup fatal. Même la douce présence de sa sœur ne parvenait à le consoler et il partie pour de bon, sans même savoir s'il ferait demi tour un jour. Elle ne savait où il allait puisque lui même ne le savait pas. Ses pas le mèneraient quelque part, jusqu'à ce que ce deuil qui lui broyait l’estomac ne disparaisse.

Il oublia comme il l'avait toujours fait, dans les bras des femmes et se nourrissant de leur sang, évitant de laisser derrière lui des cadavres, faisant en sorte que les demoiselles oublient ce qu'il faisait. Il s’oubliait dans le sang qui petit à petit et dans des quantités terribles lui faisait le même effet que l'alcool qui l'avait toujours aidé à oublier. A changer, à survivre un peu plus longtemps. Car il tenait à la vie, malgré ce sourire qui oubliait de naitre sur ses lèvres, ou alors faux, pour séduire, une prémisse de délice qu'il allait faire connaitre à ses proies d'une nuit.

William se laissait porter par le temps. Il tuait, vivait des corps dont il oubliait les visages au fur et à mesure. Il se fichait de chaque action, il se fichait de savoir le nombre de famille que les cadavres laissaient détruite. Il était comme l'ombre qui vous hante avant de mieux apposer ses lèvres à votre cou. Qu'importait ses actions, c'était un jeu qu'il s'amusait à jouer, sans même lire les règles. Il jouait avec celle qu'il avait inventées, n'offrant sa présence que pendant un temps très réduit. Il ne s'attachait plus, oubliait sa sœur, sa créatrice, la douleur qui lui avait broyée le cœur à tant de reprise. Lidia était morte, Audrey était morte. Les deux femmes qui hanteraient toujours sa vie étaient mortes, parties dans la fumée de la mémoire des mortels. Mais lui leur faisait toujours honneur.

Le temps filait avec la bonté du monde. William, qui jusqu'ici s'était contenté de vivre, choisit de prendre une bonne fois pour toute sa vie en main. Il sortie de l'ombre dans laquelle il s'était enfoncée pour mieux venir toucher à nouveau les étoiles. La chaleur du soleil sur sa peau lui manquait mais il avait eu le temps d'apprendre à vivre sans. A peine le soleil s'était-il couché qu'il sortait déjà de la villa dites lumineuse qu'il avait acheté. Il trompait les uns et les autres avec cette villa si différente des manoirs dans lesquels les vampires s'enfermaient, regardant le temps passer avec une flegme qu'offrait l'immortalité. Les mois n'étaient que de vagues secondes alors qu'il s'abandonnait à ses plaisirs charnels qui l'avaient toujours transportés.

De fil en aiguille, William étendait sa force et ses connaissances. Il lisait le jour, quand le feu du soleil l’empêchait de s'approcher de ses humains dont il suivait l'avancé pour mieux se mêler à eux une fois la nuit tombée. Le brun apprenait de ses savants qui avaient parcouru les âges, de ses êtres qui avaient inscrit leurs noms dans l'histoire et qu'il avait rencontré. Il n'était pas discret, loin de là, et cela mena à lui des êtres étranges, des histoires qui vinrent souffler à son oreille, lui offrant un but ultime. Les sorcières devinrent sa fascination, la petite touche qui le faisait sortir pour ne plus aller séduire milles et unes humaines mais bien pour découvrir la force de leur pouvoir. Il les trouverait. Il les séduirait. Et il s'offrirait leurs puissances comme des trophées. William était devenu collectionneur avec le temps. Collectionneur de cœurs, de vie, de passion éphémère. Il le deviendrait des sorcières.

Eternal renewal
If you want to be bad, be bad with purpose, otherwise you’re not worth forgiving.

Invité Invité poisoned soul

Bienvenue

&bon courage pour ta fiche.

Hâte de savoir ce que tu prends comme race Evil or Very Mad

Invité Invité poisoned soul

Welcome

fondatrice · poisoned soul √ Messages : 725 √ Date d'inscription : 21/03/2015

Bienvenue ici Môsieur Smile

Ian je l'aime bien lui. Si tu as des questions nous sommes là. Neutral

poisoned soul · poisoned soul √ Messages : 1180 √ Date d'inscription : 05/04/2015

BHUIGAHJSFUOHAEGUOA t'es beau.
Bienvenue sur PS!! Bonne rédaction pirat

Invité Invité poisoned soul

Iaaaan

Bienvenue

Invité Invité poisoned soul

Elspeth : Emmmmmmma tongue

Ah ah surprise bon vu mon vava c'est pas tres compliqué xD

Merci à vous tous clown

je vais prendre soin du bel Ian vous inquiétez pas vous avez tous votre place dans son lit /SBAFF

Invité Invité poisoned soul

William Anders a écrit:: Merci à vous tous je vais prendre soin du bel Ian vous inquiétez pas vous avez tous votre place dans son lit /SBAFF

Même moi ? study

Invité Invité poisoned soul

J'hésite encore entre Hetero ou bi mdrr

poisoned soul · poisoned soul √ Messages : 1108 √ Date d'inscription : 21/03/2015

Bienvenue

C'est le moment où j'avoue que le choix d'avatar m'intrigue, car j'ai toujours droit au cliché de la série, donc je surveille, je veux voir si tu dévies de l'image Evil or Very Mad

Invité Invité poisoned soul

Merci Mircea Smile

Je vais essayer de ne pas décevoir alors clown

même si mon perso va avoir un caractère de "méchant" comme on en voit dans les séries et vu que dans TVD, il y joue un méchant :/

Invité Invité poisoned soul

Aaaaaaaaah la fameuse fiche :D Hâte de voir ce que va donner William :D

Invité Invité poisoned soul

Fameuse fameuse Elena on verra ce que vous en pensez Smile

j'espère qu'elle te plaira clown

poisoned soul · poisoned soul √ Messages : 1180 √ Date d'inscription : 05/04/2015

bravo tu es validé

J'ai adoré ta fiche! La relation malsaine avec sa soeur, puis avec sa créatrice... William semble attirer les mauvaises femmes comme le miel attire les mouches! J'ai vraiment hâte de voir ce personnage évoluer. J'ai remarqué quelques petites fautes d'inattention par ci par là, mais rien de bien dramatique. De petites relectures lors des rps régleront tout! BREF EXCELLENTE FICHE

Pour débuter ta vie dans le forum, il ne faut pas oublier de remplir correctement ton profil. C'est très important de venir recenser ton avatar pour ne pas qu'une autre personne tente avec la même tête que toi. Il faut en profiter pour jeter un coup d'oeil au reste des demandes et pense à lire correctement les annexes parce que nos bêtes ne sont pas comme dans les films et différent de ce qu'on voit en ce moment à la télévision.

Maintenant que tu as fait toutes ces étapes ennuyeuses, nous t'invitons à te créer ta fiche de lien et à la compléter le plus vite possible. Il y a une fiche de lien à votre disposition, pour suivre les couleurs du forum et pour vos fiche tentez de ne pas déformer le forum avec vos fiche, c'est un maximum de 430px. Juste un petit rappel pour les posts rp, si vous mettez des cadre et tout, veuillez à ce que cela ne dépasse pas 430px en largeur, pour ne pas déformer le forum. merci. Une fiche a été construit pour vous ici : fiche pour les posts rp . Et surtout. Have fun.

Invité Invité poisoned soul

Oh wiiiiiiiiiiiiii merci pirat

Et oui, les mauvaises femmes viennent et son petit coeur tombe toujours dans leurs terribles filets ^^ enfin sa soeur était bien moins mauvaise que sa créatrice silent

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