nom ;
Darányi, le nom des traîtres, plongé dans les ténèbres les plus obscures d'une magie interdite. La famille désunie, fils tirés par des marionnettes désarticulées avides de destruction. La famille du chaos, de la discorde.
~ prénom ;
Iván, l'enfant perdu. Celui qui voit sans voir, qui sait sans savoir. Celui qui se perd dans les profondeurs d'un mensonge trop souvent raconté, hypnotisé par une mélodie odieuse et perfide, qui s'infiltre comme un poison distillé dans l'esprit égaré.
~ âge ;
Vingt-quatre années de perdition, passées à croire à ce qui n'est pas dans un monde factice. A inventer, à imaginer, à se repaître de cette illusion nourrie par des paroles insensées.
~ origines ;
Slovène. L'enfant dont le sang n'a jamais connu d'impuretés. Origines sombres et ensanglantées, racines profondes et immuables qui collent à la peau.
~ race ; Il est un
sorcier qui s'ignore.
~ clan ; La rareté fait la solitude. Rejeté par sa propre race, sans en avoir conscience.
~ pouvoirs ; La douleur, il l'empire, il s'en empare. Morale ou physique, il l'utilise contre vous. Il fait naître les sensations de blessures, les rend plus insupportable et tangibles. Une petite trace de sang qui se termine en mare. Un os à peine fêlé qui se brise.
~ métier ; Il est un
étudiant, qui s'enlise dans un savoir qu'il utilisera dans le domaine de la médecine.
~ orientation sexuelle ;
Bisexuel, courbes de femmes ou virilité d'hommes, il ne peut résister à cette attirance sauvage, primaire, d'un corps contre un autre, sentiments instinctifs qui prennent le dessus, sans que la raison puisse intervenir.
~ statut matrimonial ;
Célibataire, en quête d'une passion qui sauvera son cœur calciné des flammes d'une solitude trop pesante.
~ caractère ; Il est le sourire resplendissant du mensonge d'une âme blessée. Vérité trompeuse entourant ce cœur d'un voile protecteur. Il est ce jeune homme
attachant qui fait rire pour oublier les larmes. La tristesse n'est pas belle, il l'exècre comme il l'adore. Le rire est imposture, il est hypocrisie. Mais il est lumineux. Il est cette lueur d'
intelligence qui s'exprime par une logique et une intuition surprenantes, alors que ses prunelles sombres vous transpercent et vous déchiffrent, comportement humain si prévisible.
Maladroit, parfois. Il est cette ombre
fidèle et
loyale, qui se cache derrière chacun de vos pas. Celle que vos yeux ne peuvent pas voir. Il est ce murmure
curieux qui apprend vos secrets, qui les utilise, souvent. Esprit
inconscient, qui côtoie le danger comme un vieil ami, qui hurle sa rancune et sa vengeance lorsqu'il est trompé. Âme malade,
bipolaire, émotions lunatiques comme le vent qui souffle à ses aises. De chaleureux il devient glacial, sanguinaire. Cette rage le ronge alors qu'elle s'empare de lui, réactions
violentes et amour du mal. Le sang sur les mains, sur l'âme, tâche qui ne peut être effacée. L'innocence est factice, le regard est trompeur. Il montre ce qu'il veut que vous voyez. Dangereux cauchemar qui n'a pour camp que celui du chaos et de la souffrance. Ne vous fiez pas aux apparences.
~
Chassé, abandonné par ta famille dès que ton cœur s'est mis à palpiter. Ton enfance gâchée par un père inapte à te donner une affection essentielle.
~ tu détestes recevoir des ordres, tu maudis l'autorité, abjecte supériorité que se permettent des personnes banales
~ tu sens quand quelqu'un te mens, peut-être parce que tu connais les sinuosité de la vérité et du mensonge mieux que n'importe qui
~ tu as du mal à maîtriser tes pulsions, sans doute à cause de ta bipolarité
~ La discorde est ta gourmandise, tu n'en as jamais assez
~ Tu ne connais pas l'amour, faiblesse humaine. Seulement des aventures.
~ Tu inspires trop facilement la confiance, ne serait-ce que par ton air angélique qui retranscrit mal la noirceur de ton âme.
~ tu es en quête de toujours plus de pouvoir, et ce n'est pas seulement ton plaisir qui est en jeu. Ta mère, encore et toujours. Tu attends avec patience ta vengeance
~ Tu n'es jamais à l'écoute que de tes propres pensées, et la courtoisie n'a jamais été ton fort.
~
ton pseudo : Ileana.
~ âge : 17 ans.
~ pays : France.
~ fréquence de connexion : Surtout le week-end !
~ comment t'es arrivé ici? : Grâce à votre pub sur bazzart
.
~ un commentaire? : Hâte de rp avec vous !
Accueil
Sam 11 Avr - 9:34
Darányi. Le nom de l'une des plus puissantes familles de sorcières de Slovénie faisait encore naître un frisson apeuré et craintif sur les lèvres. Qui n'avait jamais entendu les rumeurs de sombres complots naissant dans les caves lugubres de ce manoir ancestral qui surplombait la ville ? L'atmosphère ténébreuse et pesante qui s'échappait de ce lieu suffisait à faire naître cette peur irrationnelle qui décourageait tous les éventuels curieux. Rares étaient ceux qui connaissaient la sombre histoire des Darányi, cette famille autrefois adepte de la magie blanche, qui sombra peu à peu dans la noirceur d'une magie démoniaque, vendant leurs âmes à des diables inconnus et laissant le sang couler de leur mains déjà trop coupables. Lignée maudite, descendantes vengeresses, hommes délaissés : la lumière avait d'ores et déjà disparue de leurs cœurs desséchés par ces massacres sanglants et ces sacrifices atroces. Puis, il vient au monde. On aurait préféré une fille, une que l'on aurait élevée comme il se doit, dans le cercle vicieux de la magie noire. Les hommes étaient les faibles, les brutes, les incapables. Chassés, indésirables. Inutiles. Mais lui, c'était une erreur. La magie l'avait infecté, tel un venin vicieux qui remonte lentement jusqu'à ce cœur désarmé. Crainte face à la différence. Les hommes ne devaient pas avoir ce pouvoir. Tout sera fait pour qu'il n'en sache rien. Éloignement, ignorance. Loin de la magie, loin du pouvoir. Loin de la famille. Détesté, haït, exécré. Fureurs de femmes avides d'un pouvoir instable qui change de mains, délicieuse drogue dont on ne peux plus se passer.
« Hors de mon chemin. » Tes yeux s’écarquillent devant le regard glacial et méprisant que ta génitrice porte sur toi. Tu ne comprends pas, tu n'y arrives pas. Ton cœur semble lézardé de milles fissures douloureuses alors qu'une supplique se meurt au creux de tes lèvres. Tu avais espéré. Et pourtant, tu le savais. Tu savais que tu t'étais menti à toi-même, et que cette odieuse vérité te rattraperait un jour ou l'autre pour t'étreindre de cette force destructrice qui te ronge aussi certainement que du poison. Tu n'as pas de famille, tu es seul. Seul depuis toujours. Tu te terres, encore et toujours, derrière cet espoir factice. Ton père n'a été capable que de faire de ta vie un enfer, et toi, tu n'as fais que ramasser les miettes. Et ta mère, ta mère. Toute ton enfance avait eu pour but de la rendre fière de toi. Mais tu n'es rien. Tu n'avais jamais rien été, jamais rien signifié, petite vermine que l'on aurait préféré voir disparaître plutôt que de la regarder ramper misérablement, victime d'une vie injurieuse. Tu n'es pas celui qu'elle aurait voulu que tu sois. Tu exècres cet être autant qu'il est possible de haïr quelqu'un. Haine de l'enfant rejeté, renié. Visage maternel hantant tes pensées jours et nuits, dans l'imagination d'une douce vengeance. Tu sais que ton heure viendra. Tu les détruira, tous ceux qui s'opposeront à toi.
Je veux savoir de quelle espèce il est, est-ce qu'on peut le manger et tout... 
Mystère, mystère 
. 