wanted to fight this war without weapons.

Invité Invité poisoned soul

FROM @allihunts/ CELEBRITE @Freya Mavor

Blomqkvist, Viola
Tous ces moments se perdront dans l’oubli, comme des larmes dans la pluie.

nom ; Blomqkvist. Un nom de famille connu par Stieg Larsson, mais qu'elle porte comme un fardeau. Les souvenirs cachaient derrières ne pourront rien changer. Il n'y a aucune lumière. ~ prénom ; Viola, prénom qu'elle aime même si elle n'a jamais su les raisons. Peut-être choisi au hasard parce qu'elle n'a jamais été voulu ? Elle n'en sait rien. ~ âge ; vingt-quatre ans, elle approche le demi-siècle doucement, mais qu'importe. L'âge n'est que la succession de deux chiffres qui ne représentent rien. ~ origines ; suédoise, elle ne s'en cache pas et garde des mots, des phrases et l'accent. Dans sa famille, on parlait suédois, à l'extérieur, on s'adaptait à la langue du pays. ~ race ; xxx ~ clan ; xxx. ~ pouvoirs ; xxx ~ métier ; pâtissières, ses petites mains créent des tas de douceurs dont elle est fière. L'amour et la passion qu'elle met dans chaque pâtisserie sont présents à chaque boucher. ~ orientation sexuelle ; hétérosexuelle, elle a eu par le passé des expériences avec sa meilleure amie du lycée et n'a pas trouvé son compte, du moins, ce n'était pas ce qu'elle cherchait à l'époque. Et si personne n'est passé entre ses cuisses, elle se perd bien plus dans les bras des hommes. ~ statut matrimonial ; célibataire et pas la bague au doigt d'un divorce ou d'un veuvage. Petite fille dans son pays des Merveilles, Viola se laisse croire à l'amour, mais ne l'a jamais trouvé, malgré les prétendants et les quelques baisers volés. ~ caractère ; C'est une petite fille, encore. Elle a plein de grigris qui la sécurise, elle a besoin de croire en quelque chose de bon, petite adepte des croyances du genre : on n'ouvre pas un parapluie dans une maison ou aux 7 ans de malheur si on casse un miroir, elle a des petits grigris qui la protège des mauvais esprits. Mais elle reste un peu naïve, elle croit toujours qu'on viendra la chercher sur un cheval blanc, mais sans les cheveux aux vents. C'est une romantique, elle adore les fleurs, les déclarations d'amour et les baisers sous la pluie, mais elle adore les films d'horreur, elle aime se faire peur, dans les films, dans ses recherches sur internet ou parfois, elle se rendait dans les lieux abandonnés. Elle reste une petite fille malgré les presque vingt-cinq ans, elle cherche toujours à se rassurer, parfois s'endort avec une veilleuse. Mais elle est incroyablement possessive. Ce qui est à elle reste à elle, c'est la copine qui prend d'un mauvais oeil toutes rencontres féminines et qui n'hésite pas à marquer son territoire. Elle met toujours du coeur à l'ouvrage, elle se donne toujours à fond quand elle aime ce qu'elle fait. C'est une petite curieuse, elle aurait pu devenir espionne ou détective privée. Elle aime chercher, fouiller, trouver ce que l'autre lui cache, quand elle peut se le permettre, dès qu'elle doute aussi. Elle croit en l'honnêteté de l'autre et pardonne toujours si la faute commise est avouée par la personne et non par une personne tierce. Petite fille amoureuse de la vie, elle ne se laisse rarement abattre pas de broutille et profite de chaque jour comme s’il était le dernier. C'est une gourmande qui aime manger et faire à manger, elle prépare toujours pour plusieurs personnes et n'hésite pas à forcer à en reprendre quand elle reçoit chez elle. Mais elle reste la petite fille en manque d'amour, elle s'accroche désespérément au peu qu'on lui donne, pour ne pas se sentir vide et seule. Parce que toutes les peurs, celle de la solitude est bien trop forte pour qu'elle puisse l'affronter. ~ les légendes, tu en penses quoi? ; les légendes ont toujours une part de vrai, quelque chose qu'on ne se rend pas compte. Alors, elle y croit comme on croit à la fée des dents, au lapin de Pâques u le père Noël. Elle aurait pu être la fille de Jack Skellington, à découvrir toutes les fêtes, toutes les légendes. Mais la petite n'a pas encore vu un vampire .

Elle dort avec une peluche, offerte par un inconnu depuis ses quatre ans. Elle ne quitte pas la nuit, comme pour se rassurer. ~ elle a plusieurs attrapes-rêves qu'elle a accrochés un peu partout dans son appartement, sans que cela fasse chargé, pour se protéger des mauvais rêves. ~ elle adore les contes de Grimm, de Perrault et d'Andersen. Son conte favori est Les Fleurs de la petite Ida, qu'elle connait par coeur. ~ elle oublie parfois de fermer la porte de son appartement et ça ne l'inquiète pas plus que ça. ~ elle est végétarienne, elle ne mange pas de viande depuis qu'elle douze ans. Il a suffi qu'on lui dise qu'elle venait de manger du lapin et elle a décidé qu'elle ne mangerait plus d'animaux. De plus, elle fait des dons à GAIA pour la défense des animaux. ~ elle a recueilli un berger allemand qui mourait de faim dans la rue, elle l'a appelé Sweet. Et depuis, il le lui rend bien. Un vrai crème qu'elle ne quitterait pour rien au monde. ~ elle lit énormément, elle adore tous les genres, tous les styles. Tant que l'intrigue lui plait, elle s'en fiche. Elle a d'ailleurs une grande bibliothèque, elle a gardé toute une pièce à son appartement ~ elle adore écouter de la musique, parfois, elle le met assez fort et danse comme une petite folle. ~ elle ne veut pas d'enfant, elle ne se sent pas prête pour en avoir un et elle ne se voit pas mère. Elle ne veut pas que son gosse soit malheureux par conséquent, elle ne prend pas de risque. ~ c'est une amoureuse des fleurs, elle connait quelques-unes avec leurs particularités et va tous les jours chez le fleuriste en acheter une ou deux.

ton pseudo : DO. ~ âge : 21 ans. ~ pays : Belgique. Sleep

. ~ fréquence de connexion : 3/7. ~ comment t'es arrivé ici? : bazzart. farao

. ~ un commentaire? : nop, nop. .

Invité Invité poisoned soul

story of my life
On dit que nous perdons tous 21 grammes au moment précis de notre mort... Le poids de cinq pièces de monnaie. Le poids d’une barre de chocolat. Le poids d’un colibri. 21 grammes. Est-ce le poids de notre âme ? Est-ce le poids de la vie ?

Viola a été une erreur, celle dont on se rend compte que trop tard, celle qu'on ne peut plus faire partir parce que le délais est dépassé. Déni de grossesse, le médecin a dit. Déni de la vie. Dès qu'elle a su qu'elle était enceinte, son ventre a pris la taille d'un ventre de femme enceinte. La petite princesse qui grandissait dans son ventre, elle a appris à l'aimer, elle a appris à l'adorer, mais pas assez, trop tard pour qu'elle puisse l'aimer pleinement. Comme une mère l'aurait fait de tout son être. Elle est bancale comme mère. Mais elle a essayé de jouer le rôle, elle a essayé de ne pas laisser mourir le petit être, c'est ce qu'il y avait de mieux à faire. Elle ne peut pas l'aimer correctement et son père est loin d'en être un. Le manque d'affection ne peut pas être comblé, toujours présent dans son coeur d'enfant, elle a essayé de grandir avec les ressources qu'on lui donnait, l'attention qu'on lui donnait. Elle a fait ses armes de bébé avec ça, le peu qu'elle avait. Mais elle reste un enfant, un bébé qui ne sait pas vivre seule, qui ne peut pas prendre son envol comme un oisillon. Et elle est bien trop en sécurité pour se laisser tomber sur le sol. Et puis, elle n'a pas la conscience assez pour pouvoir le faire. Elle n'a que ses yeux de bébé qui s'acharnent à comprendre le monde qui l'entoure, qui essaie de grandir. Ce que ses parents n'ont jamais prêté attention. Ils ont été là pour la nourriture, les couches et le bain, mais jamais plus. Plus occupés aux soirées entre amis ou à la tournée des bars. Elle n'a été qu'un bébé, elle n'a pas demandé à vivre, elle n'a pas demandé à être abandonnée non plus. On ne se souvient pas, enfant, des rencontres furtives ou des personnes qui ont pris le temps de s'arrêter, pour vous. Viola ne se souvient pas de cet inconnu qui s'est arrêté au bar, elle ne se souvient pas du temps passé avec lui, un peu ou beaucoup, qu'importe. Petite fille de six mois, elle se souviendrait de quoi ? De qui ? Elle n'a gardé qu'une impression, une très vague impression, qui a disparu au fil des mois.

Et les mois ont filé comme la vie, d'ailleurs. Elle a commencé à grandir, doucement, mais surement, et vers ces un an, elle s'est trouvée un compagnon de jeu. Quelqu'un qui a chassé les mauvais rêves la nuit. Quand elle a su parler, elle a appelé Nours. C'est mignon, c'est doux, ça l'a rassuré, petite. À la maison, ça n'a jamais été la grande joie, d'aussi loin qu'elle s'en souvienne, d'aussi loin qu'elle essaie de se rappeler. Il y a maman d'un côté et papa de l'autre, une bouteille d'alcool à la main. Elle n'a pas plus eu d'affection quand elle parlait de Nours. On a cru que c'était un ami imaginaire, on l'a prise un peu folle au début. Comment expliquer à papa et à maman que Nours, ils ne peuvent le voir parce qu'il vient quand ils dorment ? Elle était petite, elle n'a pas su se défendre contre les remarques désobligeantes de son père, elle ne l'a pas comprise d'ailleurs. Elle s'est juste qu'il était méchant depuis qu'il avait plus trop de travail, qu'on l'appelait plus aussi souvent qu'avant. Maman a toujours défendu papa, malgré les mots et la colère. Mais elle était petite, elle n'a jamais vraiment vu ce qu'il se passait devant ses yeux, tout ce qu'elle sait, c'est que le soir, il y avait Nours et qu'elle pouvait s'amuser sans avoir peur que papa ou maman l'engueule. Elle était toujours prête quand il fallait se couchait, elle n'a jamais été difficile pour aller au lit. Il y avait son ami qui l'attendait, il y avait son ami qui voulait jouer avec elle. La petite fille a rêvé jusqu'à ses quatre ans puis Nours a disparu. Elle l'attendait devant la fenêtre, elle l'attendait quelque temps avant d'aller dormir. Elle a perdu son ami et elle en a voulu à papa, parce qu'il l'a fait partir. Il a dû l'entendre, quand il parlait de lui méchamment. Vraiment méchamment. Elle en a voulu à maman parce qu'elle n'a pas pris sa défense, elle lui a dit qu'elle ne faisait rien de mal. Et puis, la nuit est devenue silencieuse, elle a cessé d'attendre Nours et l’oubliée de sa mémoire. Pas vraiment oublier, elle l'a mis dans un coin pour ne plus souffrir de l'abandon, parce qu'elle aime pas ça, être abandonnée. Même si un petit cadeau comme une peluche l'a rassuré de son existence, ça ne l'a pas aidé à croire à son retour. Même si dans son lit, il a toujours la peluche avec un t-shirt qui n'a plus de couleur, où l'inscription little princess à presque disparue. Même si elle la serre quand elle a envie de pleurer. Il est parti, avec un peu de ses rêves et de poussières de fées.

La petite blonde a grandi, elle a été à l'école, elle a été dans cette grande maison où on apprend plein de choses. Son premier jour d'école, elle en garde des brides. Elle a adoré y aller. Une parenthèse avec ses parents pas comme les autres, en prime. L'école a toujours été un lieu où elle s'est sentie à l'aise, en sécurité, au calme. Même si elle n'a jamais été la première de classe, elle s'est débrouillée pour réussir avec ce qu'elle savait. Elle n'a jamais eu l'aide de ses parents pour ses devoirs. Papa allait de plus en plus et maman n'avait plus de temps pour elle, il fallait payer les factures et le loyer. Alors, elle s'est démerdée, en allant chez une copine de classe ou demander à la professeure de réexpliquer. Elle ne voulait pas devenir comme ses parents, elle voulait briller dans quelque chose de grand, c'est ce qu'il l'a toujours poussé à ne pas se laisser couler. Un peu forte tête malgré son côté naïf, elle n'a laissé personne lui dire qu'elle ne valait rien, qu'elle finirait au fond d'un ruisseau, dépouillée d'argent et de fierté. Elle sera quelqu'un de bien, elle sera quelqu'un de meilleur ! Elle l'a dit à maman, elle l'a giflée, mais elle n'a pas pleuré, elle travailler dur. Pour elle, elle n'a pas laissé les soucis à la maison l'atteindre. Jusqu'à la vente de la maison. Non, elle ne voulait pas partir. Elle aimait sa chambre, elle aimait y vivre dans cette grande maison. Elle a dit à maman que c'était de leur faute, qu'ils auraient mieux fait de faire attention, si c'est pour acheter une maison, pourquoi la vendre après ? A onze ans, on a pas mature pour comprendre les choix des adultes, ni se montrer aimable quand on vient pour visiter la maison, une petite peste. Surtout quand elle a fini par trouver un acheteur, elle lui a offert son plus mauvais regard jusqu'à ce que maman lui explique : ils ont trouvé un arrangement, ils ne partiront pas. Elle n'y a pas cru, un petit regard sceptique, un peu anxieux avant de comprendre que le nouveau propriétaire ne mentait pas. Elle lui a offert son plus beau sourire et un petit pardon. Il n'est pas méchant lui, il ne lui enlèvera pas sa maison. Mais papa a beaucoup râlé dessus, il n'a pas apprécié son geste, il a souvent qu'ils étaient pas des nécessiteux, pas besoin de charité à deux francs. Mais Viola a remercié silencieusement le nouvel occupant de l'étage. Elle ne veut pas partir de cette maison, elle a peur qu'en partant, tout s'empire. Ici, elle est en sécurité.

Puis, à onze ans, ça était le début des découvertes, un peu de la crise d'adolescence. Le tout début, vite recadrée par maman, de peur que papa vienne lui faire du mal. Maman a toujours eu peur, toujours eu l'impression que son père était capable du pire. Mais elle lui a juste dit qu'il était alcoolique et un inadapté social, il ne lui fera pas de mal. Elle a toujours vu sa mère forte, pour elles deux. Elle a commencé à assumer les bêtises de sa fille. Une fois le collège quitter et un pas dans le lycée, elle s'est accrochée aux études, elle s'est assez démerdée pour avoir la moyenne, rarement plus d'un douze sur vingt, malgré ses efforts. Elle s'est toujours sentie amoindrie face à ses notes, mais elle n'a jamais rien à dit personne. Puis en parler avec sa mère n'a jamais abouti à de vraies conversations. Et puis, il y a cet inconnu. Celui qui dépose des cadeaux sur son lit avec un ce sera notre petit secret. Elle a toujours pris soin de ses cadeaux, comme un gout d'enfance qui revient sans qu'elle puisse s'expliquer pourquoi. Petite fille dans le coeur d'une adolescente, elle a juste cru, pour une fois, qu'on lui voulait vraiment du bien, que malgré ses erreurs, elle aura toujours quelqu'un à ses côtés. C'est un peu grâce à ça qu'elle a trouvé la force de dire à sa mère qu'elle voulait finir en pâtisserie, qu'elle ne puisse jamais faire des études poussées ni devenir médecin ou vétérinaire, elle n'est pas assez bien pour ça. Sa mère l'a aidé, elle lui a appris les bases, elle lui a appris le reste aussi. Elle a profité de ses moments mère-fille qui comblaient un peu l'absence de son père et l'amour qu'elle n'a jamais vraiment eu. Sa mère n'a pas aimé pour deux, elle a juste été présente pour ne pas qu'elle tourne mal. Pourtant, ses fréquentations, ses amis et ses petites erreurs auraient pu lui montrer la mauvaise voie. Mais elle travaillait à l'école sur quelque chose qu'elle voulait vraiment faire tout comme les cadeaux qui ont aidé à prouver qu'elle valait mieux que tout ce qu'on lui montrait, ainsi que toutes les tentations. Puis, il y a ce rêve qui a dépassé certaines limites. Des rêves un peu dénudés, ce n'est pas le premier qu'elle a pu faire, mais il y a la presque réalité, les sensations étaient bien trop réels pour elle et puis le voisin de dessus. Elle s'est étonnée à son réveil de rêver de cet homme qu'elle ne voit que rarement. De quoi avoir le feu aux joues quand elle le croise. Elle ne s'est pas rendue réellement compte que les cadeaux avaient disparu, bien trop prise par l'école et son père qui frôlait doucement dans la dépression. De quoi apprécier le bracelet encore plus. Elle l'a de suite aimé, de suite porter. Qu'elle n'a plus quitté d'ailleurs, comme la peluche, elle ne les quitte plus.

Mais rien ne se passe comme dans les contes de fées. L'inconnu ou la marraine la bonne fée n'arrête pas les drames, il n'arrive souvent que quand il est trop tard. Trop tard pour sauver le peu de famille qu'elle avait. Pourtant, ce n’est parti de rien. Juste papa qui trouve son bracelet sur la table, quand elle est occupée à la vaisselle. Elle ne s'est pas rendu compte qu'il est arrivé entre ses mains ni que l'alcool devait commencer à lui manquer. Viola a perdu le contrôle, si elle ne l'a jamais eu... Juste de quoi arriver quand son père accuse sa mère d'adultère, une arme à la main. Elle n'a pas été étonnée qu'il en eût une, mais elle ne le pensait pas capable de s'en servir contre sa famille. La petite fille a mis sa peur de côté. C'est de sa faute, s'ils en sont là. C'est de sa faute si sa famille s'effrite, un peu trop rapidement. La petite fille a grandi pour quelques minutes. Elle a dit, tout ce qu'elle pensait, toutes les responsabilités qu'elle a pu avoir. Son père ne pourra pas tirer, il n'en est pas capable. Elle a confiance en lui. Confiance qu'elle n'aurait pas dû accorder. Elle a entendu le coup partir et la douleur dans le ventre lui a permis de réaliser que son père n'est plus son père. Petite fille qui vient de voir une partie de ses croyances s'envolait, elle est partie se cacher, elle a bouché ses oreilles quelques secondes avant de trouver quelque chose pour la plaie, elle a vu ça à la télé, il faut compresser la plaie. Elle l'a compressée, avant de se mettre en boule. Du haut de ses seize ans, elle ne veut pas mourir. Elle a attendu la mort dans son coin, elle a senti la fièvre montait et le reste, c'est bien trop irréel pour qu'elle puisse décrire ce qu'il s'est passé. Elle s'est laissée sombrer dans l'inconscience quand la silhouette rassurante l'a quitté. Elle n'a pas su pourquoi, elle s'est juste endormie. Son réveil à l'hôpital, elle a détesté. À peine a-t' elle eu le temps de se réveiller qu'on est venu lui poser des questions sur l'homicide et le suicide de son père et sa mère, qu'on lui a dit qu'elle n'avait plus de parents. Elle a voulu se rendormir, elle s'est sentie bien seule. Puis, le voisin de dessus est arrivé, un ordinateur portable et quelques friandises, elle l'a remercié, sans parler plus que ça. Elle se retrouve seule, sans famille, mais elle ne veut pas quitter sa maison, il y a quelque chose qui l'attend. Alors, elle s'est renseignée, elle a cherché pour savoir quoi faire. Et quand elle a su, elle en a parlé à Ambros. Elle lui a demandé de l'aider. Il a été parfait dans son rôle, il l'a aidé à avoir son émancipation, à garder la maison, continuer les cours, la vie.

La vie a repris son cours, doucement. Elle a pu compté sur son copain pour faire son deuil, il a été parfait, tout le temps qu'elle a eu besoin d'une épaule pour pleurer, de quelqu'un pour affronter ses démons le jour. De quoi attraper le bâton pour ne pas se laisser couler. Mais elle n'a plus voulu, après, de cet homme qui l'a aidé dans ses moments de faiblesses, elle n'a plus voulu de lui parce qu'elle s'est sentie faible. Fierté mal placée qui lui a valu de mettre fin. Et puis, elle a tout repris à zéro. Elle s'est laissée entrainée dans une vie avec Ambros, l'ancien voisin du dessus. Elle a essayé de faire ses bêtises d'adolescente, de tester ses limites avant de finir par se calmer, même si elle n'a jamais été réellement indisciplinée. Puis, à la sortie de l'école, le diplôme en poche ainsi qu'une distinction, elle a voulu ouvrir sa pâtisserie. Elle a voulu ouvrir quelque chose à elle, créer de ses mains, même si pour le moment, elle n'ouvre que la matinée, elle est fière de ce qu'elle a fait. Et elle essaie de remercier sans cesse Ambros pour ce cadeau là. Elle n'a jamais su comment lui prouver toute sa reconnaissante pour lui avoir offert sa propre pâtisserie. Un rêve de gamine qui voit le jour et qui lui a permis doucement de construire la vie qu'elle a actuellement. Même si ses sentiments changent à l'égard d'Ambros, elle tente de le cacher comme elle peut, même si le petit surnom trouvé n'est pas très discret.

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First
Bienvenue parmi nous avec la magnifique Freya Smile

Invité Invité poisoned soul

merci beaucoup. clown

Invité Invité poisoned soul

Bienvenue ici belle blonde, si tu as des questions nous sommes là Smile

Invité Invité poisoned soul

Merci

Invité Invité poisoned soul

Bienvenue par ici jolie demoiselle et bon courage pour ta fiche wanted to fight this war without weapons. 2839461156

Invité Invité poisoned soul

merci beaucoup, jeune homme. elephant

poisoned soul · poisoned soul √ Messages : 1180 √ Date d'inscription : 05/04/2015

Bienvenue sur PS petite fleur pirat

Invité Invité poisoned soul

emilia est sublime sur ton vava. cyclops

merci

fondatrice · poisoned soul √ Messages : 725 √ Date d'inscription : 21/03/2015

bravo tu es validé

Jolie fiche, très agréable à lire. J'ai hâte de te voir en jeu avec la beau Fassbender J'aime ton personnage, un peu de douceur et il est bien posé.

Pour débuter ta vie dans le forum, il ne faut pas oublier de remplir correctement ton profil. C'est très important de venir recenser ton avatar pour ne pas qu'une autre personne tente avec la même tête que toi. Il faut en profiter pour jeter un coup d'oeil au reste des demandes et pense à lire correctement les annexes parce que nos bêtes ne sont pas comme dans les films et différent de ce qu'on voit en ce moment à la télévision.

Maintenant que tu as fait toutes ces étapes ennuyeuses, nous t'invitons à te créer ta fiche de lien et à la compléter le plus vite possible. Il y a une fiche de lien à votre disposition, pour suivre les couleurs du forum et pour vos fiche tentez de ne pas déformer le forum avec vos fiche, c'est un maximum de 430px. Juste un petit rappel pour les posts rp, si vous mettez des cadre et tout, veuillez à ce que cela ne dépasse pas 430px en largeur, pour ne pas déformer le forum. merci. Une fiche a été construit pour vous ici : fiche pour les posts rp . Et surtout. Have fun.

Invité Invité poisoned soul

merci beaucoup. cyclops

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