Il ne faut pas oublier de laisser un petit commentaire sur prd et bazzart.
Merci de privilégier les inscriptions masculines.

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(mozes) addicted to you

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MessageSujet: (mozes) addicted to you (mozes) addicted to you Icon_minitimeLun 18 Mai - 18:39

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Elle ne compte plus. Elle ne sait plus combien de temps elle a chassé l’enfant de sa vie. C’est pourtant un vide. Les masques qu’elle enchaîne et elle se perd. Personne ne connaît son être, son visage et ce qu’elle est. Sauf son enfant. Ce gamin têtu qu’elle a envie de briser pour cet affront dont elle ne se détache pas. Elle se souvient encore de sa rage à lui dans le fond de ses iris sombre. Gamin. Qu’un caprice alors qu’elle s’ennuyait, qu’elle errait en solitaire depuis longtemps. Personne pour s’attacher. Que le jeu avec Mircea. Elle ne peut pas se montrer à lui. Impossible. Trop de mensonge. Mozes. C’est sa progéniture. Son gamin. Elle vient à Budapest pour se rapprocher. Pour faire gronder sa rage dont elle ne se dissipe pas. Le temps n’efface pas la rancune. Pas la sienne. Pas d’autre enfant. Que lui.
Son visage qui ne change pas. Figé dans le temps. Le visage. Le sien. Pas de modification. Pas de changement de cheveux. Que le blond qui coule contre le dos, cette couleur qu’elle aborde depuis quelques années. Elle ne joue pas avec lui. Elle ne porte pas de masque, mais il ne sait pas Lui. Il ne sait pas ce qui peut être réel venant d’elle. Bonne actrice. Les mensonges qu’elle manipule trop bien. La mort de son aimée à lui. Gamine tuée par les mains des chasseurs qu’elle a soudoyés. Jouer avec l’ennemi. Elle n’a pas envie de se salir les mains et elle n’a pas envie qu’il sache que c’est elle. Trop jalouse. Elle n’aime pas être possessive. Elle n’aime pourtant pas partager, encore moins lorsqu’il s’agit de lui.

Les pas qu’elle imprime dans le sol, elle file dans son ombre à lui. Elle s’approche. Elle se laisse filer sur ce chemin qu’elle connaît. Elle observe depuis quelques mois. De loin. Elle attend le bon moment pour se rapprocher, pour lui faire signe, pour se montrer. Elle connaît son monde. Il ne connaît pas le sien. Elle ne parle pas d’elle. De sa vie. Elle ne laisse rien paraître, parce qu’elle aime contrôler et montrer ses points faibles n’aide pas à dominer. Le soleil qui vient à peine de se coucher et l’ombre qui file dans la demeure de son enfant. Robe longue ivoire. Fente qui laisse entrevoir ses jambes fines. Elle observe. Elle laisse ses doigts caresser les objets rares dans cette chambre.
Les yeux qui glissent sur l’endroit alors qu’elle attend son réveil. Elle s’étire. Féline. Qu’elle vienne troubler son esprit, pour qu’il redevienne un monstre. Endroit qui est le sien. Infesté de son odeur à lui. Il bouge. Il s’anime et elle se lève. Un pas. Un autre.
La pulpe de ses doigts qui passe sur le bord de son lit où elle se pose finalement, croise les jambes pour laisser le tissu volatile glisser contre ses cuisses fines. Sa peau est douce. Sa peau est animée. Elle ne se prive jamais de sang. La pulpe de ses doigts glisse lentement sur son visage à lui, caresse cette peau froide qu’elle connaît trop bien. Des années loin de lui. Cette envie de le briser qui ne se dissipe pas. Cette envie de le posséder qui reste au fond de ses entrailles. Cet amour malsain qu’elle ressent. Ça n’a pas de qualification. Ce n’est pas saint. Sa langue qui passe contre ses dents et elle reprend possession de sa main, elle lâche sa peau à lui. Elle croise son regard alors qu’il ouvre les yeux. Elle ne perd pas de sa superbe. Des vêtements qui lui siéent trop bien. Le visage qu’elle ne modifie pas devant lui.
Elle se penche vers lui une fois de plus. De la tendresse. De la haine. Des blessures. Il sait ce qu’elle est. Il a osé trahir son amour. Les phalanges qui passent dans ses cheveux à lui. La mère en elle. L’amante en elle. « Tu devrais sécuriser cet endroit. Heureusement que je ne suis pas venu pour t’achever.» Conseil avisé. Les cheveux qu’elle caresse tendrement. Avec lui, c’est le mélange de trop de choses. C’est sa véritable personnalité. Vega. Elle est comédienne des années depuis longtemps.
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MessageSujet: Re: (mozes) addicted to you (mozes) addicted to you Icon_minitimeMer 20 Mai - 9:53


Vega Wilhelmsson & Mòzes Juhasz

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La nuit, beaucoup trop courte à son goût avait déjà pointer le bout de son nez. Mais ce soir, ce soir tout était différent. Il n'avait pas envie de travailler, il n'avait pas envie de jouer, il n'avait même pas eu envie de s'attarder dans les ruelles sombres que lui offrait cette ville qu'il n'avait que trop bien connu, cette ville dans laquelle il était né et cette ville qu'il avait vu changer alors que les années lui filaient sous les doigts. Il avait « mangé », il était rassasié mais las, las de parcourir la ville, las de devoir sans cesse attendre la fin de la journée pour pouvoir sortir de son appartement. Ou devrions-nous dire, de son taudis.
Non Mòzes n'avait pas spécialement la patience, le temps et surtout l'envie d'avoir un chez lui comme il l'aurait tant voulu par le passer. Un appartement appartenu au rabais, des meubles du temps d'avant qu'il avait récupéré par-ci et par-là. Plutôt sobre que pimpant de couleurs, plutôt froid que réconfortant, cette appartement était à son image. Vide et inanimé.

Blasé et comme abattu par le temps. C'est d'un pas lourd, portant l'intégralité de son poids qu'il s'affala dans son lit. Ne retirant même pas ses vêtements. La nuit allait être bien longue. Mais, aussi étrange que cela puisse paraître, et certainement par ce mauvais caractère qu'il avait décidé d'avoir pour cette nuit, il se surpris à penser à elle. Elle qui l'avait transformé, elle qu'il avait essayé de tuer. Elle, sa propre mère. Il l'avait fait fuir, non pas parce qu'il ne l'aimait pas, mais parce qu'il avait été lassé, blasé, écoeuré. Souvent d'ailleurs, lorsqu'il attendait que la journée se termine afin de laisser place au monde des ténèbres, Mòzes se rappelait qu'elle ne lui avait pas laissé le temps de choisir. Elle lui avait pourtant posé la question « Tu veux vivre ? Ou tu veux mourir ? » Une question à laquelle aujourd'hui encore il était incapable de répondre. Vivre ou mourir, pourrait-on dire qu'il était en vie ? Mais il n'était pas vraiment mort, un semblant d'humanité coulait dans son être. Mòzes pouvait se montrer susceptible, froid et macabre, à l'image qu'elle avait voulu faire de lui, mais il pouvait également se montrer sensible, « chaleureux » mais surtout... humain. Chose qu'elle n'avait jamais voulu faire de lui.
Il n'avait pas remarqué sa présence à ses côtés, ou du moins, plongé dans ses pensées, il s'imaginait qu'elle pouvait être là. Comme par le passé, la présence d'une mère à ses côtés. Ses yeux fermés, il pouvait comme sentir la douce froideur de ses longs doigts se poser sur son visage. Elle lui manquait, non pas affectueusement, ou peut-être que si finalement, mais elle lui manquait, depuis son départ, Mòzes avait changé, assagit peut-être, ou peut-être pas. Il savait que quelque chose lui manquait, quelque chose qu'il ne pouvait pas décrire, quelque chose qu'il ignorait. Elle avait créé un vide en lui, ou plutôt, il avait créé ce vide en lui lorsqu'il avait essayé de la tuer. Un vide que même la présence humaine ne pouvait malheureusement pas combler, un vide indescriptible.

« Tu devrais sécuriser cet endroit. Heureusement que je ne suis pas venu pour t’achever.» Cette voix, il ne la connaissait que trop bien. Ses sourcils se froncèrent, ses yeux s'écarquillèrent, le sortant de ses pensées et de cette imagination qu'il venait de se faire. Les doigts caressants son visage, puis venant de faufiler dans ses cheveux. Non il ne l'avait pas imaginé. Sa voix l'avait fait revenir dans cette dure réalité. Son cœur, pour peut qu'il en aurait eu un, se serait mit à palpiter. Il se leva, ou plutôt sauta de son lit, pour lui faire face. Il n'avait pas rêvé, elle était bien présente. Dans sa robe ivoire, prête à l'accueillir, une nouvelle fois. Ses cheveux d'or tombant sur son corps de sirène. « Qu'est ce que tu fais là ? » Furent les seuls mots qu'il réussit à sortir sur un ton rempli de la froideur qu'elle lui avait appris. Il ne ressentait ni de la joie, ni de la colère, ou peut-être justement ressentait-il et la joie de la revoir, elle, sa mère, et la colère, la colère de celle qui avait pu se fichtre royalement de ses états d'âmes.
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MessageSujet: Re: (mozes) addicted to you (mozes) addicted to you Icon_minitimeMer 20 Mai - 19:58

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Les doigts qui filent lentement dans les cheveux, qui savourent la peau froide lentement. Le gamin. Plus jeune qu’elle. Elle ne s’intéressait pas à lui, physiquement, au début. Trop jeune pour ce qu’elle admire normalement, mais à force de le former, de le faire devenir elle, il a fini par comprendre ses désirs et la faire ployer. Les jambes qu’elle croise, vers lui qu’elle se penche. Son enfant qu’elle aime, qu’elle déteste. Le seul enfant. Elle n’a jamais eu envie de transformer qui que ce soit. Elle ne s’entiche pas. Sauf de lui. Elle ne s’est entichée que peu de fois pendant ces neuf-ans années de vie. Parfois. Un peu. C’était passager.
Il se lève de bon, son visage surpris fait naître de l’amusement sur le sien. Un sourire qui se dessine, qui étire ses traits voluptueux alors que la lionne ne bouge pas de sa place. Elle s’étire doucement, elle laisse la pulpe de ses doigts passer dans sa chevelure dorée. Un soupire alors qu’elle repose son regard sur lui, les doigts qui filent dans son cou et qui viennent contre le galbe de ses cuisses. Elle n’a pas changé. Peut-être ses cheveux plus blond, plus long, qui coule dans son dos. Le style de vêtement qui n’est plus le même. Contemporain. Elle s’adapte bien, mais sans être vulgaire. Avec goût.
« Qu'est ce que tu fais là ? » - « C’est tout? J’aurais aimé un accueil plus chaleureux.» Un sourire en coin alors qu’elle ne bouge pas de sa place, qu’elle laisse ses iris observer cet endroit morne et sans trop de goût. Il y a plusieurs raisons qui poussent la blonde à se trouver ici. L’envie de le faire ployer à ses envies pour la vengeance. Simplement. Cette de le retrouver. La tendresse qu’elle ne verbalisera jamais à haute voix.

Vega, elle finit se laisser tomber sur le dos dans le lit du gamin. Il est un gamin à ses yeux. Elle. Elle va bientôt passer son neuvième siècle. « Hm. C’est plutôt confortable à défaut de manquer cruellement de goût.» Un sourire. Sa tête tourne contre l’oreille, le tissu qui dévoile les jambes et la pulpe de ses doigts qui dessinent des ronds imaginaires contre sa cuisse. Petit enfant ingrat. Elle est rancunière Vega. Un peu trop. Elle n’aime pas le comportement du gamin. Il faut du respect. « Si tu venais me rejoindre au lieu de me regarder avec cet air.» Un rire. La sensualité qui file dans les doigts, dans le corps de la femme. Elle a appris à contrôler avec le temps. Sans que ce soit vulgaire. Sans que ce soit trop.
Il ne bouge pas et elle soupire une fois de plus, elle se déplace encore, elle se pose sur le rebord du lit, croise la jambe et laisse ses doigts empoigner le bras de Mozes. Elle l’attire à elle. Il ne peut pas se défaire de son étreinte. Une fois la promiscuité instaurée, elle se lève pour passer ses bras autour de son cou et se coller à lui. Le corps contre le sien. Le baiser qu’elle pose au coin des lèvres. Vega. Tactile à souhait. C’est elle. Surtout lorsqu’elle ne porte pas le masque d’un homme, elle aime laisser ses doigts courir, dévorer. « Je vais bientôt fêter mon neuvième siècle. Je pensais que tu voudrais le fêter avec moi. Un buffet. J’ai besoin de trouver mes proies et tu es mon invité d’honneur.» Le visage à son cou, le souffle qui s’échoue contre l’oreille de son enfant. « Tu es mon fils tout de même.» Sa peau à elle qui n’est pas pâle. Le sang d’humain qui se mélange au sien. Elle n’aime pas paraître livide. Elle boit à outrance et ça lui donne les traits humains, les traits angéliques. Murmure dans son cou. Invitation provocante.
Elle se recule. Elle se recule et se repose sur le rebord du lit, son regard qui ne quitte pas le sien.

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MessageSujet: Re: (mozes) addicted to you (mozes) addicted to you Icon_minitimeSam 30 Mai - 11:52


Vega Wilhelmsson & Mòzes Juhasz

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Comment dire à quel point Vega était importante pour lui ? Comment dire à quel point elle avait fait de sa vie cet enfer dans lequel il serait éternellement ? Comment dire à quel point elle avait changé le jeune vampire ? Vega n'était pas uniquement une femme, ou même une simple vampire, bien au contraire, elle était Vega. Cette femme aux milles visages, cette femme qui ne se laisserait jamais marcher sur les pieds. Quand elle voulait quelque chose, elle n'avait qu'à claquer des doigts pour l'obtenir. Mòzes avait été sa victime, Mòzes avait été son jouet, son animal de compagnie. Mais grand Dieu qu'elle avait été important pour lui. Si aujourd'hui, à cet instant, Mòzes essayait tant bien que mal de garder son allure impassible, cette froideur qui le caractérisait, qu'elle lui avait appris avec le temps, au plus profond de lui, au plus profond de son être, et ce, même si cela lui arrachait le peu de cœur qu'il avait, la revoir semblait lui faire plaisir. Non pas qu'il en saute et lui fasse la révérence. Mais le fait qu'elle soit encore là, présente, avec lui, semblait lui donner cette infime part d'humanité. Elle était encore là, à l'observer, de loin. Tant qu'elle était là, tant qu'il pouvait ressentir à l'intérieur de lui cette sensation qu'elle n'était jamais loin de lui, alors lui, lui ne pouvait se sentir que « bien ». « C’est tout? J’aurais aimé un accueil plus chaleureux.» Un rire sortit de sa bouche, étouffé, ironique. Un accueil chaleureux ? À elle ? Elle qui l'avait manipuler pendant de longues années, de très longues années. Elle connaissait le jeune homme, mieux que quiconque, elle connaissait le moindre de ses tics, de ses faiblesses et même de ses forces. Il se contenta simplement de rouler ses billes en direction du plafond. Non, la revoir ne lui faisait pas le plus grand plaisir du monde.
Mais, mais, avouons le, à cet instant, Vega n'était pas qu'une femme. Elle était sa femme, son amante, sa mère, sa génitrice. Elle était attirante, elle était exceptionnellement belle. Le temps n'avait pas eu d'effet sur son visage, bien au contraire, elle n'avait fait que s'embellir. De longs cheveux blonds, un peau légèrement rosée par l’afflux de sang qui coulait dans ses veines. Mòzes lui était blanc, comme la neige. Un teint malade, un teint blafard avec d'éternels billes noirs. « Si tu venais me rejoindre au lieu de me regarder avec cet air.» Sans n'avoir eu le temps de lui répondre il sentit une légère chaleur s'emparer de son bras. Cela ne faisait pas longtemps qu'elle venait de manger. Dans sa robe ivoire, même lui ne pouvait résister à son charme. Elle l'avait hypnotiser, elle avait eu, et elle pourrait encore avoir, le monopole et le contrôle du cerveau de son enfant. Elle avait réussi, elle pouvait très bien recommencer !

Puis elle s'approcha, plus que de raison. Réduisant significativement cette distance qu'il avait lui même créé avec elle. Le temps les avaient changé, tout les 2. Elle avait beau être plus merveilleuse que d'habitude, elle n'arriverait pas, cette fois, à se l'accaparer ! Pas maintenant. « Je vais bientôt fêter mon neuvième siècle. Je pensais que tu voudrais le fêter avec moi. Un buffet. J’ai besoin de trouver mes proies et tu es mon invité d’honneur.» Le temps les avait séparé mais ça, jamais il n'oublierait cette date, aussi étrange que cela puisse paraître, elle accordait une très grosse importance aux dates. Pourquoi ? Ça il ne l'avait sût, mais Vega était un mystère tout entier. Tantôt, joueuse, tantôt sincère. Mòzes voulait se séparer d'elle, ne sachant jamais sur quel pied danser avec la belle. « Tu es mon fils tout de même.» Soupir. « A mon plus grand regret ! » Son regard tomba dans celui de sa partenaire. Noir, froid, mais avec cette pointe d'amusement. « Mère. » Conclu-t-il dans un très léger murmure à peine audible, qu'elle en soit la seule à comprendre. La distance était faible, beaucoup trop faible. Si bien qu'il s'écarta, recula de quelques pas avant d'emprunter le chemin menant à son salon. Tout aussi sobre que la reste de son appartement. Un simple canapé, une table basse en verre et une télévision collée au mur. « Je ne m'attendais pas à te revoir d'aussitôt. »
Il faisait nuit noire. Si elle était là, il savait dés à présent qu'elle ne partirait pas sans avoir eu ce qu'elle désirait. Et ça, il en avait sa petite idée. « Rassures moi, tu as quand même fait bon voyage ?  » Aussi futile soit cette question, le jeune vampire resta planté dans son salon, attendant que l'objet qui fut de ses désirs ne viennent le rejoindre.
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MessageSujet: Re: (mozes) addicted to you (mozes) addicted to you Icon_minitimeVen 12 Juin - 13:49

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« A mon plus grand regret ! » La lèvre qu’elle vient mordre et le rire qui file. Enfant narquios. Enfin qui ne sait pas reconnaître la valeur du cadeau qu’elle a pu lui offrir. « Tu n’as pas changé. Toujours aussi arrogant.» À même de la rendre folle, de l’amuser et de faire naître des envies de le détruire l’instant d’après.
Il se détache. Un peu plus. Cette impression de le perdre et cette envie de faire naître le monstre à nouveau. Cet enfant tant aimé par le passé. Celui qu’elle crève de posséder encore, mais qui fait naître la distance entre les, les pas qu’il imprime vers une autre pièce. L’envie de soupirer. De le briser. De le secouer. Vega. Elle roule les yeux, les laisse se poser sur le plafond. Sa faiblesse. Lui. Son erreur. Fascination passée pour un petit gamin et le vampire qu’elle a fini par créer. Ca ne lui arrive que rarement de s’intéresser aux humains. Trop fragile. Trop facile à manipuler. Quelques humains qui ont sur attirer son attention. Une poignée. Sans plus. « Mère. » Vega, elle finit par quitter le lit et suivre son enfant, les doigts qui effleurent les murs et ses pas qui s’arrête dans le salon pour laisser son regard observer l’endroit, la salle et lui. Son gamin. Son trésor. Sa faiblesse.  « Je ne m'attendais pas à te revoir d'aussitôt. » - « De si tôt. Ca fait longtemps.» Le sarcasme dans sa voix, mais la rancœur qu’elle ne peut oublier. L’amertume et la rancune. Elle n’oublie pas. Les souvenirs gravés dans son crâne. La trahison qui roule encore contre la langue, mais qu’elle met de côté pour le moment.  

« Rassures moi, tu as quand même fait bon voyage ? » Les futilités qui sortent de ses lèvres. Elle roule les yeux et s’approche une fois de plus. Les doigts qui courent contre la peau pâle et ses bras qu’elle passe autour de son cou. « Tu dois avoir faim.» le visage qui se penche et les lèvres qui effleurent le cou. « Viens. Cesse de faire l’enfant.» Le baiser à son cou et la main qu’elle attrape pour se diriger vers la sortie. La peau pâle de son enfant. Le manque de sang humain dans ces veines. Elle veut le monstre. Son jouet. Ce monstre assoiffé qu’elle aime voir, côtoyer. Pas envie de ce gamin incapable d’apprécier sa présence, celui à même de la narguer, celui qui à attenté à sa vie. « Tu devrais nous trouver une proie intéressante.» Souffle à son cou et elle relâche la main après avoir trouvé un endroit peuplé de petits coeurs palpitants. Assez pour allumer la soif de sang. Les cœurs qui résonnent en écho au fond de son crâne et son regard qui sonde la foule. Elle n’a pas soif. Elle vient de vider quelques humains du liquide vital, les cadavres qu’elle a soigneusement placés. L’art de la mort. Des mises en scène qu’elle aime créer. La beauté. L’esthétique. « Va.» Sourire sur ses lèvres. « Tu as toujours sur bien choisir.» Les doigts qui filent contre le dos. Qu’il devienne le monstre. Ce monstre qu’elle aime.
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