nom ; Tu portes le fier et dur nom des
Báthory autant avec prestance qu'avec crainte. Tu es effrayé que ce que ce nom représente et du poids qu'il place sur tes épaules.
~ prénom ;
Előd, un prénom qui signifiait il y a un temps, « début » ou bien encore « premier ». Il t'a sûrement été donné comme un renouveau après la mort du premier garçon des tes parents, comme un espoir de trouver en toi le premier homme de la famille, enfin. Tu signes cependant tes œuvres d'un deuxième prénom que tu t'es toi-même choisi,
Ráhel. Un prénom féminin, c'est vrai, que tu gardes bien entendu caché pour tes parents, mais qui te paraît si doux, si agréable qu'il te fait oublier le sang dans lequel ta vie est plongée. Tu aimes voir des gens admirer ton travail et t'appeler par ce prénom, c'est comme si tu te trouvais alors dans un autre monde.
~ âge ; Tu as
vingt deux ans, une faiblesse face aux centaines d'années d'existences qu'ont parfois tes adversaires, et avec ça, l'expérience du temps et des richesses de savoir qu'il apporte avec lui.
~ origines ; Tu es
roumain, bien entendu, que peut-on attendre de plus – ou de moins, de la part de la famille Báthory. Ton origine est une gravure sur ton image, autant que ton nom de famille.
~ race ; La fragilité de ton être n'a d'égal que l'
humanité si profonde qui t'habite, au sens premier du terme. Tu es de ceux dont la vie n'est qu'éphémère comparée à certaines, tu es un parmi des milliards. Sans artifice, ton salut ne tient pour l'instant que dans ta jeunesse, ta santé et l'habilité de ton entraînement. Et pourtant, comme beaucoup, tu rêves d'éternité.
~ clan ; Ton nom de famille parle pour toi, inéluctablement, tu appartiens aux
Báthory, et il en sera toujours ainsi. Tout du moins, tu fais tout pour. Tu ne cesses de te ramener à la raison, et te persuader, qu'avant d'être un clan de rage, de haine et de sang, c'est avant tout ta famille, du moins tu l'espères.
~ pouvoirs ; Il n'y a rien de tel dans tes veines, même si tu possèdes quelques habilités, telles que le maniement des armes (spécialement armes blanches) et du travail du bois. Mais tout ce que des êtres étrangers à ces domaines prendraient cela comme des dons, tu as simplement appris dans la patience et la recherche constante du dépassement de tes limites.
~ métier ; Bien entendu, dans ta vie, la couverture est de rigueur. Si tes parents te voyaient avocat ou bien médecin, des métiers toujours bénéfiques pour vos petites affaires, tu as cependant, et ce pour la première fois de ta vie, réussi à négocier avec eux. Ta couverture est donc la suivante, tu es
ébéniste, menuisier, sculpteur de bois, peu importe, ce que tu aimes, c'est travailler avec le bois. Tu construis également des armes pour toute la famille, tel que des arques ou arbalètes, et les flèches qui vont avec. Tes modèles sont sans faille, et c'est peut-être pour cette raison que tes parents te laissent tranquille pour une fois. Pour eux, ce n'est qu'une couverture, ils ne savent pas que c'est la seule chose qui te permet de garder encore un peu de lucidité, ils pensent qu'être
chasseur est tout ce qui t'importe.
~ orientation sexuelle ; La question ne se pose même pas pour toi, tu te sais clairement
attiré par les hommes, et ce, depuis ta plus tendre enfance. Cela a toujours été un fait irrévocable pour toi, tu n'as jamais été dans l'incompréhension de toi-même ou dans le dénie. Non, cependant, c'est ton secret, personne ne le sait, et tu es souvent vu aux bras d'une jeune femme, pour la forme, pour ton image, cependant, tu n'as jamais été plus loin que le simple baiser. Et tu n'as jamais eu de partenaire masculin. Alors oui, soyons clair, tu es puceau.
~ statut matrimonial ; Tu es officiellement célibataire, mais tu ne serais pas étonné que tes parents t'aient déjà choisi une fiancée depuis longtemps, peut-être même bien avant ta naissance.
~ caractère ; Tu es d'une douceur sans pareil, en réalité, tu pourrais personnifier un ange. Tu n'as pendant longtemps que souhaiter sauver la veuve et l'orphelin, par la parole et la candeur de ton visage. Naïf, tu n'en es pas moins idiot, tu es sensible et tu aimes ton prochain. Pourtant, ton destin t'a détourné de ton humanité première. Devant tes parents, tu te présentes comme un garçon sans failles, alors que pourtant, tu en es rempli. Tu te montres comme le parfait petit soldat qu'ils ont toujours souhaité avoir, avide de sang, bouillonnant de violence, de justice et de haine envers les créatures qui vous veulent soit disant du mal. Tu répugnes à tuer, cela te rend malade, et tu n'as trouvé qu'une solution pour mettre à bien les plans que tes parents ont prévus pour toi, la drogue. Timide, solitaire et attentionné, tu sais parfaitement prendre un air hautain, agressif ou manipulateur. A force de jouer un rôle devant tes parents, tu t'es découvert un parfait don de caméléon, un jeu d'acteur minutieux et accompli. Tu es plutôt un enfant rêveur, candide, qui a terriblement peur d'être abandonné par sa famille. Tu si fragile, mais tu as toujours dû cacher ces faiblesses, toutes tes faiblesses.
~ les légendes, tu en penses quoi? ; Quelles légendes ? Les légendes n'existent plus, tu t'es fait une raison. Elles te paraissent aussi utopiques que les rêves. D'ailleurs, jamais tu n'as cru à aucun des deux. Tu n'es plus étonné de rien, les mythes, les légendes, les histoires, peu importe, le monde n'est pas telles qu'elles le décrivent, que ce soit dans le sens positif ou négatif, aucune chimère, aucun mirage, et toute un panel de rage et de crainte.
Tuer, pour toi, est quelque chose de particulièrement paradoxal. L'unique raison qui fait que tu en es capable, est que tu te drogues avec le sang des nocturnes, et autres substances que tu mélanges avec, qui rendent la vie plus légère (le plus souvent alcool ou d'autres drogues) avant chaque mise à mort. Le fait de complètement perdre pieds avant de tuer quelqu'un rend la chose presque excitante, et parfois même, tu te surprends à y prendre du plaisir. Cependant, une fois que l'adrénaline disparaît, tu te rends complètement malade, tu te fais vomir, tu te prives de nourriture, bref, tu nous fais une jolie crise de nerf. ~ La plus grande peur de ta vie a été la première fois que tu as eu à tuer, tu redoutais par dessus tout qu'aucune marque n'apparaisse sur ta peau et que ta famille te renie. Seulement, elle est bien apparue, entourant ton pouce et descendant le long de ton poignet, de nombreuses autres ont suivis, s'enroulant autour de ton cou, de tes bras, sur ta poitrine et dans ton dos. Maintenant, tu as simplement envie qu'elle arrête de marquer ta peau déjà particulièrement noircie, tu voudrais les voir disparaître, et souvent, dans tes moments de folie, tu te griffes la peau à sang, tu griffes et essayes de déchirer ces marques, toujours celles que tes parents ne peuvent pas voir, pour ne pas qu'ils comprennent ta faiblesse. Ces marques te répugnent autant qu'elles te font peur, parce que si elles apparaissent c'est que tu n'es rien d'autre qu'un monstre sanguinaire. Ces marques te disent digne de tuer, mais tu ne veux pas avoir ce statut. ~ uc
ton pseudo : disturb
~ âge : 21 ans
~ pays : france
~ fréquence de connexion : tous les jours
~ comment t'es arrivé ici? : grâce à Gasmask/Even
~ un commentaire? :
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Dim 3 Mai - 18:22
ahah la mignonitude peut parfois être une arme 
Merci 
Merci, je verrais ce que je peux faire, pour cette histoire d'attaque héhé 
. J'ai hâte d'en apprendre plus et de voir ton lien avec Even 
.