nom ; Weidmann. La lignée de la magie noir qui file dans tes veines, les conneries et l'égoïsme par la magie. Les servir. Les aider pour combler les erreurs, pour que les tares soient moins importantes. Achever l'oeuvre. ~ prénom ; Amaury. ~ âge ; trente-neuf ans. Les années à faire couler le sang, à accumuler les sacrifices. La magie noire. Les incantations, l'appel des maux. ~ origines ; Allemandes. Budapest. Nouvel endroit. Les vampires qui rôdent, les rumeurs qu'il entend et la ville qui grouille, la ville qui se tord sous l'appel du surnaturel. ~ race ; sorcier. la honte de la famille. la mâle doté de pouvoir alors que les femmes se meurt pour la magie. personne pour t'enseigner. toi et le pouvoir malsain. toi et la solitude pour le rendre fou, le rejet que tu ne supporte pas. tu prends sans demander. tu prends sans attendre. ~ clan ;Eux, personne. tu te contentes solitude, s'allier avec les vampires, l'oeuvre des sorciers. L'immortalité. L'envie qui te ronge, la jalousie, mais tu ne peux pas être l'un d'eux. Achever l'oeuvre. ~ pouvoirs ; manipuler le sang. le moindre once dans les veines pour jouer de sortilège. pour contrôler les gens, pour faire affluer le sang trop rapidement, créer des mots ou le ralentir pour rendre le corps lent et froid. tu en use pour les sacrifices. ca te rend fou pourtant. le sang. l'obsession. cette envie d'en prendre. tu uses de ton pouvoir et l'appel se fait plus fort. les bains de sang. les envies de sang. tu ne contrôles rien. tu n'es pas l'un d'eux, mais tu ressens l'envie de tuer, de jouer avec le sang. le pouvoir qui réveille tes instincts de tueur. ~ métier ; thanatopracteur. les morts que tu connais trop bien. les cadavres que tu maquilles pour rendre plus jolis. ~ orientation sexuelle ; les femmes. les hommes. les vampires que tu aimes. les vampire qui obsèdent ton crâne. tu as fait son choix bien avant. ~ statut matrimonial ; veuf. la belle que tu as du tuer pour un sacrifice, la parfaite que tu as du égorger pour les sortilèges. ~ caractère ; endoctriné, entêté, froid, fanatique, indépendant, violent, obsédé, tactile.
tu supportes mal la solitude, mais tu supportes mal présence des autres. trop de temps passé en reclus, trop de temps passé à ne plus faire partie de la famille. le mouton noir. l'homme avec des pouvoirs. lui qui ne devrait pas en posséder. ~ les crises de panique qui te gagne. le passé trouble que tu as du fuir. la famille décimé par le pouvoir trop grand. la connerie que tu as commises, mais eux qui ne t'aimais pas. eux qui ne faisait que te briser un peu plus. eux pour te délaisser. tu ne supportes pas le rejet, mais tu ne sais plus rien offrir. trop de peur. ~ user de ton pouvoir te rends toujours un peu plus fou. la soif de sang qui se fait sentir. l'envie de tuer. l'envie de plonger tes mains dans le carmin. en user t'affectes le crâne. ca te laisse tomber vers la folie. tu ne sais pas comment calmer les maux. tu ne sais plus comment atténuer les envies. tu ne luttes plus vraiment. plus maintenant. ~ tu les admires. le choix tu as fait en tuant celle que tu aimais. tu ne sais pas. tu ne sais pas qu'elle est encore en vie. tu ne sais pas qu'elle te cherche. tu sais les conneries, mais tu sais que ton but est plus important. tu as le cerveau rongé par lui. le vampire. celui qui profite de toi. celui que tu admires. ~ la nicotine qui te rends dépendant. ca et l'alcool fort pour te calmer. ~ personnalité instable. tu vacilles. tu change facilement. trop de sentiments. trop de folie au crâne. les crises de panique qui te prennes de temps à autres. la peur. la rage, tu ne sais plus comment te comporter. ~ le passé dont tu ne parles plus. les regrets pour la mort de la femme aimée, mais le camp que tu as du choisir. ton clan.

ton pseudo : belzézé. ~ âge : veille. ~ pays : canada. ~ fréquence de connexion : souvent. ~ comment t'es arrivé ici? : ahaha. création du dorum. ~ un commentaire? :

« Tu dois le faire.» La voix qui se glisse au fond du crâne. La voix pour le rendre fou. La voix de l’autre. De lui. La voix du vampire qui se glisse en écho dans la caboche et dont il ne peut se défaire. La tuer elle. La femme aimée. La femme adorée. Pour son but. Pour se rendre un peu plus loin. Son sang contre les mains.
Le regard qu’il porte à lui. L’homme. Le vampire. Lui qu’il admire, la race qu’il aime. Étrange amour qu’il ne contrôle pas. L’autre qui a besoin de lui. Ce sentiment d’être utile. Ce sentiment de servir à quelque chose. Son but. Aider. Retirer les tares. Retirer les conneries que les premiers ont pu faire. La race ultime sans faiblesse. Son but à lui. Son obsession.
Il fait un pas le dominant, la main qu’il pose à la joue. L’insecte intriguant, l’humain qui amuse. La paume froide au visage et les lèvres qui passent au coup. Le corps qui se tend. Il ne sait pas comment réagir Amaury, incapable de se reculer, incapable de ne pas céder à la force qu’il admire. Rien pour se défendre. Que la folie au crâne. Que le charme de l’autre pour le briser un peu plus et la femme qui sauve son âme qu’il doit tuer. La promiscuité étouffante, la promiscuité troublante. Lui qui erre dans sa vie depuis quelques mois, qui laisse les mots se glisser au fond du crâne, qui laisse son empreinte. Humain qu’il crève de s’approprier. Un jouet. Un sorcier intéressant.

« Viens.» Le soufflé pernicieux qui file entre ses lèvres alors que les phalanges s’emparent du poignet de sa douce. Beauté fragile. Le sorcier qui a fini par se faire prendre à son propre jeu, les sacrifices importants qu'il doit donner et le vampire qui laisse ses empreintes au crâne. La pureté qu’il convoite et l’âme dont il s’entiche, dont il se délecte à chaque rencontre. Une douce pour calmer ses maux. La douceur de sa peau, la tendresse au fond du regard et les vices au fond du sien. La relation exclusive. Il ne convoite pas d’autre présence que la sienne, la douceur incarnée et la parfaite qui se fait prendre au piège. Le fou amoureux. Le fou entiché. L'homme qui ne connaît pas les sentiments, que le rejet depuis gamin. Qu’elle soit sienne. Qu’elle reste sienne. Jamais vers les autres. Dépendante de lui, incapable de s’en défaire. Se borner à croire qu’il contrôle, mais les sentiments qu’il ne devrait pas ressentir pour elle. Pour un être comme elle. Les sentiments néfastes. Une parcelle de cœur pourri qu’elle a su capturer. La seule. La seule à faire naître du bon.

La mort qu’il doit donner. Ne pas montrer les faiblesses et taire les échos sur les failles de son âme, sur la parfaite qu’il convoite. Le monstre qu’il doit rester et la seule aimée qu’il doit briser. Son but est trop important pour le briser, pour le laisser s’effondrer. Les doigts entre les siens, il attire le corps de la belle contre le sien. Paume qui caresse la peau du visage, la chaire convoitée et désirée. La seule dont il ne se lasse pas. Relation exclusive qui ne lui ressemble pas. La faiblesse des sentiments qu’il doit annihiler. Les faiblesses qu’il n’a pas le droit de posséder.
Un baiser qu’il vole, la douceur des lèvres qui fait vibrer la moindre parcelle de son âme, passer les frissons sur sa peau. Les doigts qui arpentent le dos. La mort qu’il doit lui offrir. Sacrifice. Les lèvres dont il se délecte, la fraîcheur sur les lippes et les baisers qu’il rompt.
Souffle qu’il glisse. « Je suis désole.» Aveu jeté et la lame dont il s’empare pour lui fendre la peau, briser la gorge, pour entendre la souffrance s’échapper de ses lèvres. Le carmin qui tache les mains et le corps de l’aimée qui s’écrase contre le sol. Le visage froid. Le visage neutre. Les émotions qui refoulent, mais la seule parcelle de tendresse qu’il vient de tuer, qu’il vient de briser. Le corps lourd et il se penche pour la prendre dans ses bras, les ambres teintés d’incompréhension. Le sang contre les paumes, la pulpe des doigts qu’il passe su visage, les lèvres qu’il détaille de l’index et il se penche pour poser un baiser sur le front. Tendresse qu’il n’offre qu’à elle. La mort pour mieux vivre lui. Égoïste qu’il a toujours été.
Elle se meurt. Elle suffoque. Elle tremble. La gorge tranchée, le sang qui coule à ses doigts, le carmin qu'il connait trop bien. Le chaos.