(roksana) Don’t bless me, Father, for I have sinned☽Roksana
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Sujet: (roksana) Don’t bless me, Father, for I have sinned☽Roksana Ven 10 Avr - 10:22
FROM @THEMADDUO / CELEBRITE @KAYA SCODELARIO
nadasdy, roksana Des fois j’me dis que j’suis pas née dans le bon sens, genre j’suis sortie d’ma mère à l’envers et les mots qu’j’entends j’les entends à l’envers, les gens que j’devrais aimer j’les hais et les gens qu’je hais....
nom ; Elle le maudit, elle le renie. Nadasdy, le nom d'une famille qu'elle n'a jamais considéré comme la sienne, un nom qu'elle déteste, qu'elle rejette, qu'elle haït du plus profond de son être. ~ prénom ; Elle n'était pas désirée cette erreur de la nature, cette faute de jeunesse, ce fruit du péché pervertie jusqu'à la moelle. C'est avec culpabilité et remords que sa mère la nomma Roksana. Cette créature aux yeux saphirs abandonnera bien souvent ce nom pour celui de Roxy, l'impure, la pécheresse. ~ âge ; Vingt et une années qu'elle foule cette terre, vingt et une années gâchées à assouvir le moindre de ses instincts, la moindre de ses envies les plus viles et à déverser sa haine sur un monde aussi pourri qu'elle. ~ origines ; Ses origines sont floues et après tout elle s'en moque. La femme qui lui a servi de mère et qui lui a donné à son grand regret la moitié de son code génétique est hongroise. Quand à son père c'est une page blanche, un grand inconnu à l'équation bancale de sa vie. ~ race ; On lui a toujours dit qu'elle faisait parti de la race humaine, celle que le Seigneur a comblé de sa grâce. Mais elle s'est toujours senti à mille lieux ceux qui devraient être ses semblables. La moindre fibre de son être sent qu'elle est différente elle n'a juste pas encore conscience d'être une sorcière, ces créatures qui devraient finir sur un bûcher selon ceux qui l'ont vu naître. ~ clan ; Elle vous répondra le sien, celui où elle est pleinement libre et la maîtresse de sa vie sans être enchaînée par de pseudo valeurs qui ne sont pas les sienne. Celui aussi de la seule personne qui n'a jamais compté à ses yeux, la meilleure partie d'elle-même. Mais sa nature la pousse de plus en plus vers la magie et son côté le plus obscur. Elle est destiné à se vouer à la magie noire et cette dernière l’appelle, l’attire inexorablement. La clan Enesco semble fait pour lui ouvrir les bras. ~ pouvoirs ; Elle semble née pour semer la désordre autour d'elle et pour gâcher sa vie, pour être un véritable démon sous des traits angéliques. Elle a un talent inné pour la révolte, la discorde et la provocation. Mais ce qu'elle a vraiment d’exceptionnellement est sa voix. Légèrement cassée elle ronronne sensuellement aux oreilles de ceux qui l'entendent. Roksana sait que sa voix marque et attire les gens mais elle ne sait pas encore qu'elle a un pouvoir d'hypnose et qu'elle peut alors faire ce qu'elle veut de la personne qu'elle a prise pour cible, comme si elle était une sirène. C'est arrivé une seule fois pour l'instant lorsqu'elle était dans une colère noire mais elle n'a pas compris ce que cela impliquait. Comme elle n'en a pas encore conscience elle ne le contrôle pas ce qui la met souvent dans des situations délicates. Des personne envoûtées notamment des hommes deviennent obsédés par elle au point parfois d'en devenir agressifs. ~ métier ; Officiellement elle est étudiante même si elle passe beaucoup plus de temps à faire la fête qu'en salle de cours. Elle vend également régulièrement ses charmes et son corps au plus offrant pour se faire de l'argent facile. Mais ce qui aime vraiment c'est son rôle de chanteuse dans un petit groupe de rock qui commence à se faire doucement un nom. ~ orientation sexuelle ; Elle a tendance à préférer les hommes, leur voix rauque, leurs mains puissantes, leurs baisers rudes, leur force animale mais elle ne dit pas non à la douceur des courbes féminines de temps à autre. En d'autre mots elle est pansexuelle, elle se fout royalement des sexes et des genres à partir du moment que ça a une belle carrosserie et que ça assouvit ses appétit et comble ses instincts. ~ statut matrimonial ; Son corps appartient à tous, son cœur à personne. Elle va d'un lit à l'autre sans attaches, prends ce qu'elle veut et repart sans se retourner. Elle est célibataire et compte bien le rester, elle rira au nez de celui qui voudra la mettre en couple. ~ caractère ; Provocante - indépendante - impulsive - directe - manipulatrice - tolérante - arrogante - protectrice - joueuse - séductrice - sociable - fêtarde - destructrice - révoltée - secrète - généreuse - bornée - colérique - instable - excessive - sensible - rancunière - susceptible - douce - torturée - distante - loyale - inaccessible - profiteuse - courageuse - convaincante - ingénieuse - curieuse - jalouse - entre prenante - tactile - intelligente - bordélique - ouverte - délurée.
Le but de la vie de Roksana est de choquer son entourage, de rejeter toutes les pseudos valeurs et l'éducation catholique qu'on a voulu lui inculquer de force. Elle a pour cela par exemple perdu sa virginité à seize ans avec le prêtre de sa paroisse ruinant à la fois la réputation de sa famille et celle de son église ~ Tout en elle est provoquant de sa façon de s'habiller, de se maquiller, à son vocabulaire en passant par ses gestes, ses regards jusqu'à l'intonation de sa voix. Elle rejette totalement les règles qui régissent la société et elle a sa propre vision des choses. Elle refuse d'être comme les autres, de se fondre dans la masse et fait donc tout pour se faire remarquer ~ Cette attitude scandaleuse cache en réalité une profonde détresse et une immense souffrance. Terrorisée à l'idée d'être à nouveau abandonnée et rejetée par ceux qui devraient l'aimer plus que tout au monde elle se protège en s'interdisant de s'attacher à quelqu'un et en faisant en sorte d'être détestée et crainte. Hypocrite jusqu'au bout elle ne se confiera jamais à quiconque ne voulant pas laisser transparaître la moindre faiblesse qu'on pourrait utiliser contre elle ~ Elle peut en revanche être très douce et généreuse avec tous ceux qui comme elle n'entrent pas des les cases de la société. Elle se sent plus proches d'eux que de quiconque et se découvre alors un élan de protection très prononcé. Les gueules cassés et les faibles sont les seuls a pouvoir voir le bon côté de la diablesse ~ Elle est presque toujours enveloppée d'un nuage de fumée. Fumeuse compulsive depuis l'adolescence c'est la première de sa longue liste d'addiction ~ La musique est sa seule passion. Elle s'intéresse à tous les genres même le rock occupera toujours la première place dans son cœur. Elle chante depuis toujours et apprends depuis peu à jouer de la guitare ~ La seule personne qui a de la valeur pour elle est sa sœur jumelle son précieux trésor ~ C'est un oiseau de nuit. Elle préfère de loin la vie nocturne à celle en plein jour ~ Elle déteste la silence et le sentiment de solitude qui l'accompagne c'est pour cela qu'elle a la sale manie de faire constamment du bruit que ce soit en chantonnant ou en jouant avec un briquet ~ Elle a le bas du dos tatoué.
ton pseudo : Moonshine. ~ âge : 23 ans. ~ pays : France. ~ fréquence de connexion : Quotidienne. ~ comment t'es arrivé ici? : Bazzart. ~ un commentaire? : So good to be bad .
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Sujet: Re: (roksana) Don’t bless me, Father, for I have sinned☽Roksana Ven 10 Avr - 10:22
story ofmy life everything was better when sun goes down
I don't wanna be the girl who has to fill the silence... The quiet scares me 'cause it screams the truth. Please don't tell me that we had that conversation. When I won't remember, save your breath, 'cause what's the use? Aahh, the night is calling and it whispers to me softly, "come and play". Aahh, I am falling and if I let myself go, I'm the only one to blame. I'm safe up high, nothing can touch me but why do I feel this party's over? No pain inside, you're like perfection but how do I feel this good sober?
J'ouvre difficilement les yeux. Je n'ai aucune idée de l'endroit où je me trouve ni de l'heure qu'il peut bien être. Je sais seulement que la lumière du jour blesse mes yeux clairs. C'est l'une des nombreuses raisons qui me font détester le soleil, ce con qui nous regarde de haut. Je suis allongée à même le sol, l'herbe me chatouillant les doigts. La bouche pâteuse et un étau se resserrant sur mon crâne je sens les prémices de la gueule de bois phénoménale qui me tend les bras. Je me redresse et le monde se met à tourner. Bordel j'ai vraiment fait fort cette nuit. Comme d'habitude dès que la nuit est tombée je suis sortie errer dans les rues à la recherche d'alcool, de drogue et de sexe, de tout ce qui me fera oublier ma petite existence merdique. J'ai passé la nuit à danser, à boire, à fumer, à aguicher pour finir par offrir mon corps au premier venu. Une nuit banale en somme. Et à présent encore un matin avec un gout de cendre dans la bouche et des bleus à l'âme, un matin qui me met sans pitié face à la lamentable réalité. J'inspire profondément avant de passer mes mains sur mon visage pour tenter de faire passer la nausée qui me tord l'estomac. En vain. Fait chier. Je déteste me sentir aussi minable, aussi pitoyable. Une pensée vient cependant me réconforter quelque peu. Celle de ma chère mère qui serait déshonorée de me voir dans un tel état. Enfin chère mère est un bien grand mot pour désigner la femme qui m'a mise au monde.
Ni moi ni ma soeur étions des enfants désirées bien au contraire. Nous avons été conçues lors d'une soirée un peu trop arrosée. Notre mère, une jeune fille d'à peine seize à l'époque élevée dans l'éducation religieuse la plus stricte sortait en boite de nuit pour la première fois de sa vie. Influencée par son groupe d'amis elle avait fait le mur et s'était retrouvée quelques heures plus tard avec un taux ébriété élevé et dans les bras d'un inconnu. Trois mois plus tard elle se rendit compte avec horreur qu'elle attendait des jumelles. Elle la gentille petite fille sage qui faisait la fierté de ses parents vit son monde s'effondrer sous ses pieds. Elle le cacha le temps qu'elle le put, tenta d'avorter mais rien n'y fit. Malgré les hauts amples qu'elle portait son ventre arrondi la trahit. Outrée qu'elle ait pu commettre le péché de la chair avant le mariage sa famille la renia et la mit à la porte. La future maman ne trouva refuge que chez sa grand-mère, une femme aigrie qui lui rappela chaque jour la honte et l'opprobre qui lui collaient à présent à la peau. On l'a força nous élever mais, elle n'a jamais été capable d'avoir une once d'amour pour nous. A partir du moment où elle nous mit au monde et qu'elle posa les yeux sur nous elle ressentit au contraire un immense dégoût. Pour elle nous étions que les deux saloperies qui avaient détruit sa vie. Elle nous haït toute sa vie et ne se gêna pas pour nous le faire comprendre chaque jour. Pour notre mère, nos grands parents, nos voisins, les enfants de l'école, pour tous nous étions qu'une erreur de la nature, le fruit du péché que Satan avait insufflé à notre pauvre mère. On chuchotait derrière nous, nous insultait, certains tentèrent de nous purifier à coups de valeurs chrétiennes et de châtiments corporels. Les autres parents interdirent leurs à enfants de jouer avec nous et même de nous parler. Rejetées pas tous nous nous sommes protégées l'une l'autre, seules contre tous. Coupables uniquement d'avoir commit le crime de naître. Et cela devient bien pire lorsque notre mère rencontra l'ordure qui lui servit de mari.
Un homme aussi con et religieux que tous les autres et qui comme eux nous traita comme des moins que rien. Considéré comme un saint par beaucoup car il prit deux enfants adultères comme nous sous son aile, il était en vérité aussi pourri que tous les autres. Un monstre d'hypocrisie qui se cachait derrière sa pseudo dévotion religieuse uniquement pour se donner bonne conscience. Plus les jours passaient plus je ressentais un dégoût viscéral et une rage implacable envers chacun d'eux. Ils nous détestaient? J'allais leur donner une bonne raison de le faire. Pour eux nous étions que le fruit du péché je décidais donc de devenir la pire pécheresse qu'ils pouvaient imaginer et de les emmener avec moi jusqu'en enfer. Je ne pouvais pas les obliger à m'aimer je deviendrais alors leur pire cauchemar. C'est au début de l'adolescence que je commençai à leur pourrir leur petite vies à l'allure sans tâche. Je m'intéressai à tout ce qui avait attrait à la sorcellerie et m'amusai à graver des symboles sataniques un peu partout. Je m'habillai de plus en plus vulgairement, me mit à fumer, à boire, à me droguer et à emmener leurs chers enfants si parfaits avec moi. Je les poussai à se révolter, à se pervertir. Je poussai le vice jusqu'à pervertir la chaste piété de notre prêtre et de coucher avec lui. L'affaire fit bien sûr un scandale phénoménal dont je ris à gorge déployée. Je n'étais plus seulement l'enfant illégitime mais Roksana la sorcière, l'impure, la pécheresse, l'enfant du Démon. J'étais devenue incontrôlable, bien satisfaite de leur faire payer toutes ces années de souffrance et de rejet. Je n'attendais qu'une seule chose, me barrer de cet endroit avec ma sœur et ne plus jamais revenir.
Ce jour vint lorsque je ne m'y attendais pas. Alors que je rentrais chez moi à une heure très avancée de la nuit comme à mon habitude, je trouvais l'élite de notre communauté dans le salon. Toute la clique des religieux au grand complet me regardait comme si j'étais le diable en personne. Et avant que je ne puisse réagir je me suis retrouvée avec un sac sur la tête et les mains attachées dans le dos. J'ai hurlé, insulté, frappé, mordu mais ils réussirent à m'emmener de force. Lorsqu'on m'enleva le sac je vis que j'étais sur une table de l'église, la même que celle où j'avais dépucelé le prêtre quelques semaines au auparavant. A la différence qu'une dizaine de personnes m'entourait et qu'on m'avait attaché pour m’immobiliser. Ils avaient décider de m’exorciser pour faire sortir le démon qui était soi-disant en moi. Ma première réaction fut d'exploser de rire. Ce qu'ils étaient cons, ils battaient tous les records. Mais après plus de trois heures de leurs incantations de merde et autant passé à me battre, à m'insulter et me noyer à moitié avec leur saloperie d'eau bénite je n'avais plus du tout envie de rire. Les nerfs à vif et la rage au cœur j'avais plutôt envie de leur arracher les yeux. Je me débattis rangement au point que les liens qui m'entravèrent entrèrent dans ma chair. Mais tout bascula lorsqu'ils menacèrent de faire la même chose à ma soeur. Plic, plac, ploc. Des gouttes de sang tombèrent sur le sol, tâches écarlates sur le marbre immaculé. La rage continua d'enfler en moi, tel un serpent plongeant ses crocs incandescents dans mon coeur pour répandre son poison infernal dans mes veines. J'avais l'impression de brûler de l'intérieur, de perdre la tête, de sombrer dans un gouffre sans fin. Une noirceur abyssale que moi seule pouvait voir m'enveloppa. Elle s'infiltra en moi, par chaque pore de ma peau engloutissant jusqu'à mon âme. J'eue l'impression de respirer pour la première fois, de naître nouveau. Ma poitrine se souleva alors et un cri épouvantable sorti de ma gorge, leur ordonnant de me laisser tranquille, de ne plus me toucher. A ma grande surprise ils m'obéirent, tous sans exception. Ils m'immobilisèrent les bras ballants, le regard dans le vide comme s'ils étaient dans un état second. Je les regardais avec toute la haine dont j'étais capable. Je voulais qu'ils paient. Tous! Ma voix résonna alors dans l'église, impétueuse et terrible tant et si bien que je ne la reconnue pas moi-même. J'avais la voix d'un démon. Je leur ordonnai de me détacher, ce qu'ils firent. De s'agenouiller devant moi ce qu'ils firent. Ils m'obéissaient. Ils étaient là complètement asservis mes pieds, sous mon contrôle, à ma merci. Une fureur glaciale m'envahit alors. Oui je les ferais tous payer. Pour eux je n'étais qu'une sorcière qui finirait brûlée en enfer. C'est eux qui seraient dévorés par les flammes. Impitoyable, sans la moindre once de pitié je leur fis foutre le feu à l'église. Je les regardais faire, se déplacer comme des pions avec lesquels je m'amusais. J'observais les flammes venir lécher leur corps et leur arracher des cris de souffrance. La fumée envahit leurs poumons, ils pleuraient, criaient mais, ils ne pouvaient pas fuir, une force invisible clouant leurs pieds au sol. Ce n'est que lorsque l'odeur de leur chair calcinée chatouilla mes narines que je tournai les talons et que je quittai l'église, les abandonnant sans aucun remord à une mort lente et atroce. J'allumai simplement une cigarette, recrachant la fumée vers le ciel nocturne. Je jubilai littéralement, un sentiment de satisfaction et de bien être s'emparant de tout mon être. Bien avant que les sirènes ne retentissent j'avais disparu dans la nuit, aussi silencieuse qu'une ombre et avec la conviction de ne plus être la même.
Je suis rentrée tranquillement chez moi, pris toutes les affaires et tout l'argent que je pouvais avant d'emmener ma soeur loin de cette foutue ville. Nous avions alors dix-sept ans et après quelques semaines à vagabonder nous atterrîmes à Budapest. L'affaire de l'église incendiée fit quelques temps la une des journaux et l'enquête finit par conclure à un suicide collectif de quelques fanatiques religieux. Nous n'avons jamais été recherchées, notre mère étant beaucoup trop heureuse de se débarrasser du fardeau que nous représentions. Les débuts dans la ville furent un peu difficiles pour ma soeur et moi mais petit à petit nous nous en sortîmes. Nous étions ensemble, rien d'autre n'avait d'importance. Je n'ai jamais parlé de cette nuit à ma soeur, ayant beaucoup trop peur de l'effrayer. Mais elle n'est pas dupe. Elle me connait mieux que quiconque et elle voit bien que je ne suis plus la même. Jem'en rends bien compte. J'ai l'impression de sombrer un peu plus chaque jour, comme si quelque chose m'appelle et je commence à avoir peur. Je ne veux pas emmener ma soeur dans ma chute, surtout pas alors je m'éloigne d'elle un peu plus chaque jour. J'ignore ce qui cloche chez moi ni combien de temps je pourrais continuer comme ça mais, une chose est sûre. Je ne regrette pas une seule seconde ce que j'ai fait et je le referai s'il le fallait. Décidant qu'il était tant de sortir de mes pensées et de mettre les voiles je me lève en m'étirant. C'est là que je vois qu'un homme est allongé à côté de moi, totalement dans les vapes. Sûrement mon coup de la nuit précédente. Il est tellement imbibé d'alcool qu'il n'émergera pas avant plusieurs heures. Je lui donne quelques coups de pieds pour m'en assurer. Aucune réaction en retour. J'en profite alors pour faire ses poches. Son argent finit dans ma poche et le reste de ses affaires, papiers et clés dans le canal juste en face. C'est peut-être pas très utile de faire ça mais, ça m'assume d'imaginer sa tête de débile quand il se rendra compte qu'on lui a fait les poches. Contente de ma première vacherie de la journée je le plante alors là, prête à vagabonder à nouveau sans but, cherchant juste un nouvel amusement pour tuer le temps.
Elvira Szabó
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Sujet: Re: (roksana) Don’t bless me, Father, for I have sinned☽Roksana Ven 10 Avr - 10:37
Oh que j'aime ce prénom! Et Kaya!! Bienvenue sur PS, et bonne rédaction pour ta fiche!!
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Sujet: Re: (roksana) Don’t bless me, Father, for I have sinned☽Roksana Ven 10 Avr - 10:49
Emilia ** Merci beaucoup ma belle
Mircea Brâncuși
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Sujet: Re: (roksana) Don’t bless me, Father, for I have sinned☽Roksana Ven 10 Avr - 11:00
Une sorcière qui penche du mauvais côté (mauvais... le plus intéressant selon moi ). Bon, si tu hésites encore pour l'avatar, je donne mon avis et je préfère Kaya, qui a ce côté égaré/capable de tout. Bienvenue
Poisoned Soul
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poisoned soul
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Sujet: Re: (roksana) Don’t bless me, Father, for I have sinned☽Roksana Ven 10 Avr - 11:00
Le belle kaya Bienvenue sur PS et j'ai hâte d'en savoir plus sur ton personnage
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Sujet: Re: (roksana) Don’t bless me, Father, for I have sinned☽Roksana Ven 10 Avr - 11:14
Kayaaaaaa Bienvenue à toi
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Sujet: Re: (roksana) Don’t bless me, Father, for I have sinned☽Roksana Ven 10 Avr - 13:24
*re-décède une nouvelle fois* KAYYYYYYYAAAAAAA Ou comment ramenée un bombe atomique sur le forum Bienvenue parmi nous, hâte d'en savoir plus sur ton personnage et puis hâte de te harcélé pour un petit lien
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Sujet: Re: (roksana) Don’t bless me, Father, for I have sinned☽Roksana Lun 13 Avr - 6:10
Merci beaucoup tout le monde, hâte de rp avec vous
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Sujet: Re: (roksana) Don’t bless me, Father, for I have sinned☽Roksana Lun 13 Avr - 7:22
Kaya !!! L'une de mes actrices préférées !! Bienvenue sur le fofo
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Sujet: Re: (roksana) Don’t bless me, Father, for I have sinned☽Roksana Lun 13 Avr - 7:25
Kayaaa Bienvenue et réserve-moi un lien entre méchants sorciers !
Mircea Brâncuși
poisoned soul + drink from the cup of life
poisoned soul
√ Messages : 1108 √ Date d'inscription : 21/03/2015
Sujet: Re: (roksana) Don’t bless me, Father, for I have sinned☽Roksana Mer 15 Avr - 4:21
Ton délai se termine vendredi Et ta fiche est presque terminée Si tu as besoin de temps, n'hésite pas
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Sujet: Re: (roksana) Don’t bless me, Father, for I have sinned☽Roksana Mer 15 Avr - 13:43
Merci beaucoup les beaux mâles
Merci beaucoup Mircea mais je pense finir dans les temps, comme tu l'as dis j'ai quasiment fini
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Sujet: Re: (roksana) Don’t bless me, Father, for I have sinned☽Roksana Mer 15 Avr - 17:37
tu as une très jolie plume agréable à lire, c'est rare que j'apprécie la première personne, mais tu le rend bien. C'est une petite forte tête celle-là, j'ai hâte de la voir évoluer.
Pour débuter ta vie dans le forum, il ne faut pas oublier de remplir correctement ton profil. C'est très important de venir recenser ton avatar pour ne pas qu'une autre personne tente avec la même tête que toi. Il faut en profiter pour jeter un coup d'oeil au reste des demandes et pense à lire correctement les annexes parce que nos bêtes ne sont pas comme dans les films et différent de ce qu'on voit en ce moment à la télévision.
Maintenant que tu as fait toutes ces étapes ennuyeuses, nous t'invitons à te créer ta fiche de lien et à la compléter le plus vite possible. Il y a une fiche de lien à votre disposition, pour suivre les couleurs du forum et pour vos fiche tentez de ne pas déformer le forum avec vos fiche, c'est un maximum de 430px. Juste un petit rappel pour les posts rp, si vous mettez des cadre et tout, veuillez à ce que cela ne dépasse pas 430px en largeur, pour ne pas déformer le forum. merci. Une fiche a été construit pour vous ici : fiche pour les posts rp . Et surtout. Have fun.
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Sujet: Re: (roksana) Don’t bless me, Father, for I have sinned☽Roksana Mer 15 Avr - 17:39
Ta meilleure amie arrive bientôt
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Sujet: Re: (roksana) Don’t bless me, Father, for I have sinned☽Roksana Mer 15 Avr - 18:20
Merci beaucoup T'habitude je suis une adepte de la troisième personne mais j'avais envie d'expérimenter d'autres choses pour une choix
Oh oui ma blonde
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Sujet: Re: (roksana) Don’t bless me, Father, for I have sinned☽Roksana Jeu 16 Avr - 10:51
On va bien s'amuser
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Sujet: Re: (roksana) Don’t bless me, Father, for I have sinned☽Roksana
(roksana) Don’t bless me, Father, for I have sinned☽Roksana
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Ven 10 Avr - 10:22
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J'ouvre difficilement les yeux. Je n'ai aucune idée de l'endroit où je me trouve ni de l'heure qu'il peut bien être. Je sais seulement que la lumière du jour blesse mes yeux clairs. C'est l'une des nombreuses raisons qui me font détester le soleil, ce con qui nous regarde de haut. Je suis allongée à même le sol, l'herbe me chatouillant les doigts. La bouche pâteuse et un étau se resserrant sur mon crâne je sens les prémices de la gueule de bois phénoménale qui me tend les bras. Je me redresse et le monde se met à tourner. Bordel j'ai vraiment fait fort cette nuit. Comme d'habitude dès que la nuit est tombée je suis sortie errer dans les rues à la recherche d'alcool, de drogue et de sexe, de tout ce qui me fera oublier ma petite existence merdique. J'ai passé la nuit à danser, à boire, à fumer, à aguicher pour finir par offrir mon corps au premier venu. Une nuit banale en somme. Et à présent encore un matin avec un gout de cendre dans la bouche et des bleus à l'âme, un matin qui me met sans pitié face à la lamentable réalité. J'inspire profondément avant de passer mes mains sur mon visage pour tenter de faire passer la nausée qui me tord l'estomac. En vain. Fait chier. Je déteste me sentir aussi minable, aussi pitoyable. Une pensée vient cependant me réconforter quelque peu. Celle de ma chère mère qui serait déshonorée de me voir dans un tel état. Enfin chère mère est un bien grand mot pour désigner la femme qui m'a mise au monde. 
Ni moi ni ma soeur étions des enfants désirées bien au contraire. Nous avons été conçues lors d'une soirée un peu trop arrosée. Notre mère, une jeune fille d'à peine seize à l'époque élevée dans l'éducation religieuse la plus stricte sortait en boite de nuit pour la première fois de sa vie. Influencée par son groupe d'amis elle avait fait le mur et s'était retrouvée quelques heures plus tard avec un taux ébriété élevé et dans les bras d'un inconnu. Trois mois plus tard elle se rendit compte avec horreur qu'elle attendait des jumelles. Elle la gentille petite fille sage qui faisait la fierté de ses parents vit son monde s'effondrer sous ses pieds. Elle le cacha le temps qu'elle le put, tenta d'avorter mais rien n'y fit. Malgré les hauts amples qu'elle portait son ventre arrondi la trahit. Outrée qu'elle ait pu commettre le péché de la chair avant le mariage sa famille la renia et la mit à la porte. La future maman ne trouva refuge que chez sa grand-mère, une femme aigrie qui lui rappela chaque jour la honte et l'opprobre qui lui collaient à présent à la peau. On l'a força nous élever mais, elle n'a jamais été capable d'avoir une once d'amour pour nous. A partir du moment où elle nous mit au monde et qu'elle posa les yeux sur nous elle ressentit au contraire un immense dégoût. Pour elle nous étions que les deux saloperies qui avaient détruit sa vie. Elle nous haït toute sa vie et ne se gêna pas pour nous le faire comprendre chaque jour. Pour notre mère, nos grands parents, nos voisins, les enfants de l'école, pour tous nous étions qu'une erreur de la nature, le fruit du péché que Satan avait insufflé à notre pauvre mère. On chuchotait derrière nous, nous insultait, certains tentèrent de nous purifier à coups de valeurs chrétiennes et de châtiments corporels. Les autres parents interdirent leurs à enfants de jouer avec nous et même de nous parler. Rejetées pas tous nous nous sommes protégées l'une l'autre, seules contre tous. Coupables uniquement d'avoir commit le crime de naître. Et cela devient bien pire lorsque notre mère rencontra l'ordure qui lui servit de mari.
Un homme aussi con et religieux que tous les autres et qui comme eux nous traita comme des moins que rien. Considéré comme un saint par beaucoup car il prit deux enfants adultères comme nous sous son aile, il était en vérité aussi pourri que tous les autres. Un monstre d'hypocrisie qui se cachait derrière sa pseudo dévotion religieuse uniquement pour se donner bonne conscience. Plus les jours passaient plus je ressentais un dégoût viscéral et une rage implacable envers chacun d'eux. Ils nous détestaient? J'allais leur donner une bonne raison de le faire. Pour eux nous étions que le fruit du péché je décidais donc de devenir la pire pécheresse qu'ils pouvaient imaginer et de les emmener avec moi jusqu'en enfer. Je ne pouvais pas les obliger à m'aimer je deviendrais alors leur pire cauchemar. C'est au début de l'adolescence que je commençai à leur pourrir leur petite vies à l'allure sans tâche. Je m'intéressai à tout ce qui avait attrait à la sorcellerie et m'amusai à graver des symboles sataniques un peu partout. Je m'habillai de plus en plus vulgairement, me mit à fumer, à boire, à me droguer et à emmener leurs chers enfants si parfaits avec moi. Je les poussai à se révolter, à se pervertir. Je poussai le vice jusqu'à pervertir la chaste piété de notre prêtre et de coucher avec lui. L'affaire fit bien sûr un scandale phénoménal dont je ris à gorge déployée. Je n'étais plus seulement l'enfant illégitime mais Roksana la sorcière, l'impure, la pécheresse, l'enfant du Démon. J'étais devenue incontrôlable, bien satisfaite de leur faire payer toutes ces années de souffrance et de rejet. Je n'attendais qu'une seule chose, me barrer de cet endroit avec ma sœur et ne plus jamais revenir. 
Ce jour vint lorsque je ne m'y attendais pas. Alors que je rentrais chez moi à une heure très avancée de la nuit comme à mon habitude, je trouvais l'élite de notre communauté dans le salon. Toute la clique des religieux au grand complet me regardait comme si j'étais le diable en personne. Et avant que je ne puisse réagir je me suis retrouvée avec un sac sur la tête et les mains attachées dans le dos. J'ai hurlé, insulté, frappé, mordu mais ils réussirent à m'emmener de force. Lorsqu'on m'enleva le sac je vis que j'étais sur une table de l'église, la même que celle où j'avais dépucelé le prêtre quelques semaines au auparavant. A la différence qu'une dizaine de personnes m'entourait et qu'on m'avait attaché pour m’immobiliser. Ils avaient décider de m’exorciser pour faire sortir le démon qui était soi-disant en moi. Ma première réaction fut d'exploser de rire. Ce qu'ils étaient cons, ils battaient tous les records. Mais après plus de trois heures de leurs incantations de merde et autant passé à me battre, à m'insulter et me noyer à moitié avec leur saloperie d'eau bénite je n'avais plus du tout envie de rire. Les nerfs à vif et la rage au cœur j'avais plutôt envie de leur arracher les yeux. Je me débattis rangement au point que les liens qui m'entravèrent entrèrent dans ma chair. Mais tout bascula lorsqu'ils menacèrent de faire la même chose à ma soeur. Plic, plac, ploc. Des gouttes de sang tombèrent sur le sol, tâches écarlates sur le marbre immaculé. La rage continua d'enfler en moi, tel un serpent plongeant ses crocs incandescents dans mon coeur pour répandre son poison infernal dans mes veines. J'avais l'impression de brûler de l'intérieur, de perdre la tête, de sombrer dans un gouffre sans fin. Une noirceur abyssale que moi seule pouvait voir m'enveloppa. Elle s'infiltra en moi, par chaque pore de ma peau engloutissant jusqu'à mon âme. J'eue l'impression de respirer pour la première fois, de naître nouveau. Ma poitrine se souleva alors et un cri épouvantable sorti de ma gorge, leur ordonnant de me laisser tranquille, de ne plus me toucher. A ma grande surprise ils m'obéirent, tous sans exception. Ils m'immobilisèrent les bras ballants, le regard dans le vide comme s'ils étaient dans un état second. Je les regardais avec toute la haine dont j'étais capable. Je voulais qu'ils paient. Tous! Ma voix résonna alors dans l'église, impétueuse et terrible tant et si bien que je ne la reconnue pas moi-même. J'avais la voix d'un démon. Je leur ordonnai de me détacher, ce qu'ils firent. De s'agenouiller devant moi ce qu'ils firent. Ils m'obéissaient. Ils étaient là complètement asservis mes pieds, sous mon contrôle, à ma merci. Une fureur glaciale m'envahit alors. Oui je les ferais tous payer. Pour eux je n'étais qu'une sorcière qui finirait brûlée en enfer. C'est eux qui seraient dévorés par les flammes. Impitoyable, sans la moindre once de pitié je leur fis foutre le feu à l'église. Je les regardais faire, se déplacer comme des pions avec lesquels je m'amusais. J'observais les flammes venir lécher leur corps et leur arracher des cris de souffrance. La fumée envahit leurs poumons, ils pleuraient, criaient mais, ils ne pouvaient pas fuir, une force invisible clouant leurs pieds au sol. Ce n'est que lorsque l'odeur de leur chair calcinée chatouilla mes narines que je tournai les talons et que je quittai l'église, les abandonnant sans aucun remord à une mort lente et atroce. J'allumai simplement une cigarette, recrachant la fumée vers le ciel nocturne. Je jubilai littéralement, un sentiment de satisfaction et de bien être s'emparant de tout mon être. Bien avant que les sirènes ne retentissent j'avais disparu dans la nuit, aussi silencieuse qu'une ombre et avec la conviction de ne plus être la même. 
Je suis rentrée tranquillement chez moi, pris toutes les affaires et tout l'argent que je pouvais avant d'emmener ma soeur loin de cette foutue ville. Nous avions alors dix-sept ans et après quelques semaines à vagabonder nous atterrîmes à Budapest. L'affaire de l'église incendiée fit quelques temps la une des journaux et l'enquête finit par conclure à un suicide collectif de quelques fanatiques religieux. Nous n'avons jamais été recherchées, notre mère étant beaucoup trop heureuse de se débarrasser du fardeau que nous représentions. Les débuts dans la ville furent un peu difficiles pour ma soeur et moi mais petit à petit nous nous en sortîmes. Nous étions ensemble, rien d'autre n'avait d'importance. Je n'ai jamais parlé de cette nuit à ma soeur, ayant beaucoup trop peur de l'effrayer. Mais elle n'est pas dupe. Elle me connait mieux que quiconque et elle voit bien que je ne suis plus la même. Jem'en rends bien compte. J'ai l'impression de sombrer un peu plus chaque jour, comme si quelque chose m'appelle et je commence à avoir peur. Je ne veux pas emmener ma soeur dans ma chute, surtout pas alors je m'éloigne d'elle un peu plus chaque jour. J'ignore ce qui cloche chez moi ni combien de temps je pourrais continuer comme ça mais, une chose est sûre. Je ne regrette pas une seule seconde ce que j'ai fait et je le referai s'il le fallait. Décidant qu'il était tant de sortir de mes pensées et de mettre les voiles je me lève en m'étirant. C'est là que je vois qu'un homme est allongé à côté de moi, totalement dans les vapes. Sûrement mon coup de la nuit précédente. Il est tellement imbibé d'alcool qu'il n'émergera pas avant plusieurs heures. Je lui donne quelques coups de pieds pour m'en assurer. Aucune réaction en retour. J'en profite alors pour faire ses poches. Son argent finit dans ma poche et le reste de ses affaires, papiers et clés dans le canal juste en face. C'est peut-être pas très utile de faire ça mais, ça m'assume d'imaginer sa tête de débile quand il se rendra compte qu'on lui a fait les poches. Contente de ma première vacherie de la journée je le plante alors là, prête à vagabonder à nouveau sans but, cherchant juste un nouvel amusement pour tuer le temps. 
). Bon, si tu hésites encore pour l'avatar, je donne mon avis et je préfère Kaya, qui a ce côté égaré/capable de tout. Bienvenue 
T'habitude je suis une adepte de la troisième personne mais j'avais envie d'expérimenter d'autres choses pour une choix 
